Mutant
Les éditions Rimini nous proposent de (re)découvrir Mutant (John “Bud” Cardos, 1984), un film atypique des années 1980 méconnu du grand public, à travers un sublime coffret qui lui rend justice.
Les éditions Rimini nous proposent de (re)découvrir Mutant (John “Bud” Cardos, 1984), un film atypique des années 1980 méconnu du grand public, à travers un sublime coffret qui lui rend justice.
Dans ses collections d’introuvables et de raretés, Le Chat qui fume a récemment édité trois films québécois : La mort d’un bucheron et La Tête de Normande St-Onge de Gilles Carle, ainsi que Gina de Denys Arcand. L’occasion pour nous de vous plonger dans ces trips bizarres aux accents de tabarnak mais profondément ancrés dans le réel.
Relecture moderne et horrifique du mythe d’Orphée et Eurydice, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir L’autoroute de l’Enfer (Ate de Jong, 1991), petite comédie horrifique dont l’aspect surréaliste n’aurait pas dépareillé dans le catalogue Troma.
Alors que son édition Blu-Ray est sortie depuis quelques jours sous la bannière de Wild Side, retour sur Le Sommet des Dieux (Patrick Imbert, 2021), film d’animation époustouflant qu’on souhaite ardemment voir briller aux César dans trois semaines.
A gagner sur Fais pas Genre en partenariat avec Capricci, des blu-ray de “Messe Basse” de Baptiste Drapeau.
A gagner sur Fais pas Genre en partenariat avec Carlotta Films, des Blu-Ray et DVD de “Henry, portrait d’un sérial killer”.
A gagner sur Fais pas Genre avec Wild Side, des DVD et Blu-Ray des chefs-d’oeuvres du Studio Ghibli !
Aux premiers jours du mois de juillet, une bonne poignée de cinéphiles ont bravé la chaleur étouffante pour s’abreuver d’ambiances occultes et ésotériques. Perdu dans un beau village d’Occitanie, le château H organisait “Les Diableries”, un festival de cinéma en plein air à la gloire du Dieu Lumière. Dans ces catacombes, sanctuaire d’un passé cathare propre à la région, nous faisons la rencontre de Nils Bouaziz, fondateur de la maison d’édition et de distribution Potemkine Films. Ce dernier étant à l’initiative de la superbe édition collector du film culte, nous profitons de l’occasion pour discuter avec lui du marché de la vidéo et d’un certain cinéma halluciné en perdition, mais aussi – et surtout – pour décrypter ce chef d’œuvre trop méconnu du cinéma d’horreur muet.
La sortie conjointe de deux grands films du maître italien – Les Trois visages de la Peur (1963) et La Ruée des Vikings (1961) – chez nos camarades du Chat qui fume nous permet de revenir sur ce cinéaste de chevet pour beaucoup d’entre nous. Deux films très différents, de leur conception à leur contenue, mais qui chacun donne à voir sa poésie : celle d’un artificier amoureux des couleurs et du spectacle.
Carlotta vient de ressortir deux films majeurs et malheureusement mésestimés de Francis Ford Coppola, Peggy Sue s’est mariée (1986) et Jardins de Pierre (1987). Deux essais de la même période, les années 80, peut-être la plus tourmentée de son auteur, mais aussi la plus mélancolique. Un temps où le cinéaste semblait obsédé par la perte de l’innocence, la sienne – celle d’un ange déchu forcé de réaliser des films de commande après un échec retentissant – et celle d’une nation tout entière quelques années après la Guerre du Vietnam.
Après un court passage en salles en octobre dernier, Petit Vampire (Joann Sfar, 2020) fait débarquer le bestiaire de monstres du célèbre auteur-dessinateur-réalisateur en DVD et Blu-ray pour conquérir les enfants et les fans d’horreur.