umberto lenzi


Au pied d'un lit, une femme attachée et bâillonnée regarde avec espoir un téléphone rouge, à quelque mètres d'elle ; scène du film Des fleurs pour un espion.

Des fleurs pour un espion

Plongée dans l’Euro Spy, genre d’exploitation on ne peut plus opportuniste surfant sur la James Bond mania des années 60, grâce à la sortie en DVD chez Artus Films de Des fleurs pour un espion réalisé par le roublard Umberto Lenzi en 1966. Critique d’un long-métrage bis certes, mais qui n’a peut-être pas tant à rougir de la comparaison avec son illustre modèle.


Chats rouges dans un Labyrinthe de Verre

Le regretté Umberto Lenzi, nom glorieux du cinéma populaire italien des années 70-80, n’avait pas encore connu d’édition hommage d’un de ses films à la suite de son décès. C’est enfin chose faite, et c’est sans surprise, pour le mieux, le Chat qui fume qui nous gratifie d’une belle édition d’un de ses projets les plus méconnus, giallo étonnant, généreux, et réflexif encore inédit jusqu’ici en France, que l’on peut découvrir dans une copie sublime. […]


Le retour de Kriminal 1

On prend (presque) les mêmes et on recommence : deux ans après le film d’Umberto Lenzi, c’est au tour de Fernando Cerchio de s’atteler à la suite des aventures de Kriminal, dans un second volet qui vient de sortir en DVD, toujours chez Artus Films. Man of steal Lorsque Kriminal sort en 1966, ce n’est ni un succès critique, ni un succès public. Pourtant, le film est plein de qualités, et représente superbement l’idée que l’on […]


Kriminal 1

Toujours dans la collection Ciné-Fumetti d’Artus Films, voici venir pour la première fois en France le Kriminal d’Umberto Lenzi, œuvre culte s’il en est et première adaptation d’un personnage de bande dessinée italienne sur grand écran. Gentleman cambrioleur Deux ans après la création du personnage de Diabolik, le dessinateur Magnus (pseudonyme de Roberto Raviola) et le scénariste Max Bunker (pseudonyme de Luciano Secchi) créent Kriminal, inspiré du bandit sorti de l’imagination des sœurs Giussani. Kriminal […]