Les Jeux de la Comtesse Dolingen de Gratz   Mise à jour récente !

L’unique film de Catherine Binet, “Les Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz” (1981) est plus qu’une pépite oubliée, c’est aujourd’hui une œuvre quasiment introuvable dont l’aura suffi à attiser la curiosité des cinéphiles. 

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Une jeune femme accroupie au milieu de bougies, dans sa cuisine, plongée dans la pénombre, dans le film La Damnée de Abel Danan.

[Entretien] Abel Danan, héritage mystique   Mise à jour récente !

Après un passage au Festival de Gérardmer, “La Damnée” , premier long-métrage d’Abel Danan, arrive enfin dans nos salles obscures. À cette occasion, le réalisateur s’est confié pour Fais pas Genre, dans une ambiance folk horror marocaine au coin du feu.


Les Maîtres du Temps   Mise à jour récente !

En 1973, La planète sauvage , Prix spécial du jury à Cannes, révèle René Laloux au grand public. Bien que la production de ce film d’animation fut un parcours du combattant pour son réalisateur et que, de son point de vue, c’est plutôt Roland Topor qui en récolta la gloire, il n’en est guère échaudé et va se lancer dans un nouveau projet fou : adapter les autres romans de Pierre Pairault, alias Stefan Wul, pour la télévision.

Vus de l'intérieur d'une large grotte, sept anges, en contre-jour, portent un huitième avec des cordes, beaucoup plus bas, sous un ciel orangé ; plan du film d'animation Les maîtres du temps.

Lady Gaga s'apprête à embrasser le Joker, face à elle, comme s'ils dansaient, tous deux éclairés par une lumière orange artificielle.

Joker : Folie à Deux   Mise à jour récente !

Cinq ans après un premier volet porté au nu, Todd Phillips s’offre avec “Joker : Folie à deux” (2024) une occasion de convaincre les derniers récalcitrants (comme nous) avec une suite plus foutraque que démente.


Malevil   Mise à jour récente !

Cinéaste mésestimé et tombé en désuétude, bien que césarisé en son temps, Christan de Chalonge est certainement l’un des plus intéressants spécimens de cinéastes français à s’être aventuré dans les cinémas de genres, s’il faudra s’appesantir en détails sur plusieurs titres de sa filmographie pour pleinement s’en convaincre, le cas de Malevil (1981), récit d’anticipation post-apocalyptique gratiné d’un casting cinq étoiles, méritait la primeur.

Plan large sur une vieille bâtisse en ruines, plongée dans le brouillard, derrière Jacques Durtonc, debout, les bras ballants ; extrait du film Malevil.

Sissy Spacek au milieu des flammes avec sa robe en sang dans Carrie au bal du diable.

Carrie, au bal du diable   Mise à jour récente !

A l’occasion d’une présentation au Ciné-Club « Au Frontières du Méliès » au cinéma Le Méliès de Montreuil, retour sur Carrie, au bal du diable (Brian de Palma, 1977). Il est de ses films sur lesquels on ne revient plus : il n’y a pour lui ni travail de réévaluation ni de dénigrements tardifs à faire. Il reste cette splendeur de teen movie et de film d’horreur rassemblé, ce sommet dans la carrière d’un cinéaste ô combien important pour nous, cet inoubliable bain de couleur et de romantisme, nimbé pourtant d’ironie et de noirceur. Pour y revenir, au-delà de ces superlatifs, peut-être faut-il faire un petit pas de côté. En deux plans et deux sursauts.