joaquin phoenix


Plongée sur Joaquin Phoenix, du sang sur la tempe, qui regarde au dessus lui l'air perdu, dans le film Beau is afraid.

Beau is Afraid

Après deux essais remarquables — Hérédité (2018) — puis remarqué — Midsommar (2019) — Ari Aster c’était imposé comme l’une des figures de proues d’une nouvelle génération de cinéastes dévoués à l’horreur et au fantastique. Avec Beau is Afraid (2023), il s’en vient déconstruire son image publique et proposer un troisième film voulu plus ample, plus riche, plus complexe mais qui se révèle avant tout plus boursoufflé.


Le futur Joker dans les loges de son spectacle (critique)

Joker 4

Plusieurs semaines après la sortie en salles événement de Joker (Todd Phillips, 2019), précédée d’une attente peut-être un peu trop disproportionnée – comme toujours – on a assisté, ça et là, à de véritables joutes entre les conquis et les sceptiques. Chez Fais pas Genre ! dans ces cas-là, on laisse le temps faire son œuvre, calmer les ardeurs. On outrepasse l’opportunisme des clics faciles et de la course aux premiers arrivés. On observe, on écoute, […]


Les Frères Sisters

Alors qu’on le connaît pour “ses” versions du film policier, c’est au western que Jacques Audiard se frotte. Les Frères Sisters marque en 2018 l’export du bonhomme aux States (même si le film a été tourné en Espagne et que la prod est franco-américaine), pour un genre typiquement outre-Atlantique et pose la question : avoir eu 200 prix en festival implique-t-il de savoir réaliser un bon western ? Le trot pépère vers l’or Ah, Jacques […]