The Fabelmans


[Entretien] Le CinématoGrapheur, à propos de Spielberg

Après avoir conquis le YouTube cinéma grâce à ses brillantes analyses de nos blockbusters préférés, Victor Norek aka le CinématoGrapheur, consacre son premier livre au roi du divertissement : Steven Spielberg. Édité chez Third editions, L’œuvre de Steven Spielberg : l’art du blockbuster plonge en profondeur dans la filmographie du cinéaste le plus connu au monde pour mieux nous en montrer la cohérence, la virtuosité et la profondeur. Un livre inédit et définitif qui méritait bien un entretien fleuve !

Portrait du CinématoGrapheur assis sur un fauteuil de cinéma, dans un salon, et s'apprêtant à fermer un clap ; derrière lui, une étagère avec de nombreux DVD.

[Bilan 2023] Les Séquences qui n’ont pas fait genre en 2023

Après vous avoir dévoilé il y a quelques jours notre TOP 10 des films qui n’ont pas fait genre en 2023, on vous propose d’explorer, de découvrir, de revisiter, quinze séquences qui n’ont pas fait genre lors de l’année écoulée. Ces scènes partagent toutes un point commun : elles hantent pour longtemps. Certaines d’entre elles étant des “scènes de fin” nous précisons que des spoilers et autres divulgachis peuvent se loger dans ces textes.


[TOP10] Les Films qui n’ont pas fait genre en 2023

Une nouvelle année qui commence c’est surtout l’occasion de regarder en arrière pour livrer les habituels TOP10 et désigner le film qui « fait pas genre » de l’année. Chacun.e des rédacteurs/trices a dû choisir les 10 films qui, pour lui/elle, « n’ont pas fait genre » en 2023 parmi ceux qui répondent aux critères de notre ligne éditoriale, et seulement ceux-là. Voici donc le TOP10 des films qui font pas genre de 2023 !


Une petit garçon est fasciné par l'image qui est projetée sur sa main, et qui n'éclaire que son visage au milieu de la pénombre ; plan issu du film The Fabelmans.

The Fabelmans

Un an après le feu-d’artifice, spectral et déchirant, que fut West Side Story, c’est peu dire que nous attendions avec la plus grande impatience The Fabelmans. Parce qu’il est le nouveau film de Steven Spielberg, bien entendu, mais aussi et surtout parce qu’il s’agit peut-être de son projet le plus personnel, où le cinéaste nous livre les souvenirs d’une enfance traumatisée par la séparation de ses parents, mais surtout par sa découverte du septième art. Le résultat, sans complaisance mélodramatique ni épate formelle, est largement à la hauteur de nos attentes.