Killers of the Flower Moon


[Bilan 2023] Les Séquences qui n’ont pas fait genre en 2023

Après vous avoir dévoilé il y a quelques jours notre TOP 10 des films qui n’ont pas fait genre en 2023, on vous propose d’explorer, de découvrir, de revisiter, quinze séquences qui n’ont pas fait genre lors de l’année écoulée. Ces scènes partagent toutes un point commun : elles hantent pour longtemps. Certaines d’entre elles étant des “scènes de fin” nous précisons que des spoilers et autres divulgachis peuvent se loger dans ces textes.


[TOP10] Les Films qui n’ont pas fait genre en 2023

Une nouvelle année qui commence c’est surtout l’occasion de regarder en arrière pour livrer les habituels TOP10 et désigner le film qui « fait pas genre » de l’année. Chacun.e des rédacteurs/trices a dû choisir les 10 films qui, pour lui/elle, « n’ont pas fait genre » en 2023 parmi ceux qui répondent aux critères de notre ligne éditoriale, et seulement ceux-là. Voici donc le TOP10 des films qui font pas genre de 2023 !


Robert de Niro, au volant de sa vieille voiture, tend sa main vers le bras de Leonardo Di Caprio, penché sur lui, qui l'écoute attentivement, dans le film Killers of the flower moon.

Killers of the Flower Moon

Quatre ans après le sublime The Irishman, tristement découvert sur nos petits écrans, Martin Scorsese fait cet automne un retour remarqué dans les salles obscures avec le tant attendu Killers of the Flower Moon, fresque de plus de trois heures qui rassemble ses deux muses historiques pour la première fois devant sa caméra. Cette ample et sombre adaptation d’un roman de David Grann n’est pas qu’un événement sur le papier. Il constitue peut-être la première entière réussite du cinéaste sur le terrain du grand roman américain. Retour sur étrange, obsédant et funèbre Requiem.


[Carnet de Bord] Festival de Cannes • Jours 3-6

Quatre nouvelles journées sur la croisette, essentiellement pluvieuses. Quelques revenants, plus ou moins incarnés, des épanchements cinéphiles à l’écran ou dans les files d’attente, des tentatives plus ou moins « genrés », plus ou moins réussies, de toucher au contemporain. Comme souvent à Cannes, l’accumulation de films et de soirées donnent le sentiment de traverser un monde en quelques séances et quelques jours. Avec, pour ces jours-ci, un film monstre qui emporte tout et qui a hanté l’intégralité des projections qui ont suivi…