jason blum


L’I.A du mal

Après « Les Cartes du mal » (Anna Halberg & Spencer Cohen, 2024), les ténèbres continuent de se répandre sur nos écrans avec « L’I.A. du mal » (Chris Weitz, 2024). Aucun rapport entre les deux films sinon le manque d’originalité des distributeurs français en matière de titre, mais la promesse d’un visionnage poilant et décérébré. À moins que Jason Blum, qui produit le bousin, ait décidé de nous faire réfléchir un peu pour une fois…

Dans une pièce plongée dans une lumière rouge, et sur un fond représentant une multitude de visages de mannequins, John Cho enlace sa compagne, la mine soucieuse ; plan du film L'I.A. du mal.

The Vigil

The Vigil (Keith Thomas, 2020), film d’horreur sorti en salles entre les confinements est édité en Blu Ray et DVD par Wild Side. Un film qui nous fait plonger un jeune homme en quête d’un petit job dans une veillée funéraire qui pourrait bien causer sa propre perte …


The Hunt

Sous la houlette de Blumhouse, Craig Zobel nous invite à une chasse à l’homme sanguinaire avec The Hunt (2020). Cette relecture des Chasses du Comte Zaroff (Ernest B. Schoedsack et Irving Pichel, 1932), placée à l’ère des réseaux sociaux et du complotisme, se veut une puissante satire de l’Amérique sur fond de série B à concept. Certes, The Hunt a bien fait grincer des dents aux USA – la promotion et les affiches n’ont pas manqué de le rappeler – mais toute cette controverse est-elle vraiment méritée ?

Une jeune femme prostrée dans une caisse en bois, en bordure de fortet, sous la surveillance d'un homme à côté, accroupie, une mitraillette à la main, scène du film The Hunt.

Un individu face à une échelle d'égouts, dont le visage est recouvert par une masse monstrueuse rose, scène du film Mercy Black.

Mercy Black

Sorti directement sur Netflix outre-atlantique, la nouvelle production d’horreur indépendante estampillée Blumhouse, Mercy Black (Owen Egerton, 2020) sort chez nous sur Shadowz, la toute nouvelle plateforme de SVOD spécialement dédiée aux cinémas d’horreur et fantastique et dont nous sommes partenaires. A cette occasion, retour sur ce film qui répond parfaitement au cahier des charges habituel des productions Jason Blum.