Depraved
Disponible depuis le 30 octobre en exclusivité chez notre partenaire Shadowz, Depraved (Larry Fessenden, 2019) transpose le mythe de Frankenstein à l’époque contemporaine, sans pour autant en être une énième adaptation ennuyeuse.
Disponible depuis le 30 octobre en exclusivité chez notre partenaire Shadowz, Depraved (Larry Fessenden, 2019) transpose le mythe de Frankenstein à l’époque contemporaine, sans pour autant en être une énième adaptation ennuyeuse.
Premier long-métrage en solo pour le Norvégien Jarand Herdal, Kadaver se prend les pieds dans le tapis avec un scénario mal ficelé et surtout invraisemblable de bout en bout. Explications.
Projet improbable quand on se souvient de la fin du précédent opus, 3 From Hell, le nouveau film de Rob Zombie, était pourtant très attendu en tant que suite de deux des meilleurs ouvrages de son auteur, La Maison des 1000 morts et The Devil’s Rejects. Improbable, le film l’est bien, mais pas forcément pour le mieux…
La pandémie n’épargne personne et certainement pas le géant Disney qui se voit contraint de repousser un à un tous les films de ses multiples franchises, ou de les sortir sur sa plateforme de streaming Disney +. Tel a été le cas pour Mulan (Niki Caro, 2020) et très récemment, nous apprenions qu’il en serait de même pour le prochain Pixar, le très attendu Soul (Pete Docter, 2020) qui devrait être disponible en France pour Noël directement sur la plateforme. Le Seul et Unique Ivan n’y a pas échappé non plus. Moins attendu que les autres œuvres citées ci-dessus, le film a fait une sortie discrète sur Disney + courant septembre.On vous dit si ce drame animalier mérite ou non le coup d’oeil.
On l’avait malheureusement raté au PIFFF 2019 mais on se rattrape pour sa sortie vidéo : on vous parle donc de I See You (Adam Randall, 2019), un thriller domestique qui n’a pas fini de vous surprendre.
Prix du jury au dernier Festival de Gérardmer, Inunaki : Howling Village (Takashi Shimizu, 2020) opère un retour à une J-Horror certes traditionnelle mais efficace.
Film-concept entre teen movie et horreur-scifi, Starfish (A.T White, 2019) débarque en exclusivité française sur la plateforme Shadowz. Nous avons pu s’y plonger avant tout le monde.
Après une première présentation à la Berlinale au temps de l’Ancien Monde, Last and First Men l’unique long-métrage du regretté Jóhann Jóhannsson a été projeté à l’Etrange Festival en son hommage. Un manifeste apocalyptique envoûtant et énigmatique, brillamment orchestré par le réalisateur-compositeur ; une œuvre intimiste et monumentale entre documentaire et science-fiction, où passé et futur se confondent. Vertigineux.
Adaptation d’un court manga d’Osamu Tezuka, Barbara (Makoto Tezuka, 2020) est une femme visiblement à domicile variable, énigmatique, portée sur l’alcool, inconvenante. Mais, pour le meilleur et surtout pour le pire, elle s’avère être la parfaite muse pour un auteur dépressif en manque d’inspiration.
Présenté en compétition et en première internationale à L’Etrange Festival, on vous parle de Spree (Eugene Kotlyarenko, 2020) qui embarque l”excellent Joe Keery – vu dans la série Stranger Things – dans une course au followers meurtrière.
La famille Cronenberg n’a visiblement pas fini d’éprouver nos rétines. Cette fois, le fils, Brandon Cronenberg revient avec un second long-métrage, Possessor (2020) successeur de Antiviral (2013) pour envahir l’Etrange Festival et vient questionner le corps et l’identité dans un thriller basé sur une machine permettant à son utilisateur de contrôler le corps d’autrui, notamment dans le but d’effectuer des actes plus que répréhensibles.
Annoncé comme le dernier film de la carrière prolifique de son fou fieffé réalisateur, Shakespeare’s Sh*tstorm (2020) permet à Lloyd Kaufman de revisiter à nouveau l’une des pièces maîtresses de l’auteur britannique après son Tromeo et Juliet (1996). Ici c’est donc La Tempête qui se voit vitriolé par le trublion punk. Retour, dans le cadre de sa présentation en compétition à l’Etrange Festival, sur cette œuvre bien compliquée à aborder.
Figure emblématique de la pop-culture américaine des années soixante, Tiny Tim est resté majoritairement hors des radars en Europe. Le documentaire Tiny Tim: King for a Day (Johann Von Sydow, 2020) présenté à l’Etrange Festival est donc l’occasion de découvrir ou redécouvrir cette figure de la musique proprement hors normes.