Terrifier 2
Enorme carton-surprise au box-office US, Terrifier 2 est sorti en France tout auréolé de son buzz : critique du deuxième volet d’une saga qui en comporte en fait trois, et dont le dernier tout bruyant est, peut-être, le moins bon.
Enorme carton-surprise au box-office US, Terrifier 2 est sorti en France tout auréolé de son buzz : critique du deuxième volet d’une saga qui en comporte en fait trois, et dont le dernier tout bruyant est, peut-être, le moins bon.
Découvert lors de sa première français au PIFFF en 202 et disponible désormais sur Shadowz, The Feast (Lee Haven Jones, 2021) s’attarde sur la préparation d’un repas au sein d’une famille aisée – mais loin d’être irréprochable – venue s’isoler dans leur maison en pleine lande austère, celle du Pays de Galle. Au milieu de cette intensité toxique, la jeune Cadi (Annes Elwy) est engagée pour faire le service. Saupoudré de dialogues en gallois, le premier long-métrage de Lee Haven Jones croise ses thématiques folk avec les codes du film d’horreur pour livrer une parabole sociologique. Cette fable scandinave nous amène à questionner une appellation récente, l’elevated horror.
Shadowz continue son flot hebdomadaire d’exclusivités avec After Midnight (Jeremy Gardner et Christian Stella, 2019) hybride inattendu entre drame romantique et film de monstre qui nous a laissés pantois.
Bryan Bertino a débarqué tout feu tout flamme en 2008 avec “The Strangers”, un film d’abord boudé à sa sortie, qui avait, le temps aidant, réussit à devenir un “incontournable”. Entre temps, le cinéaste s’était attelé à la réalisation moyennement convaincante de “The Monster” (2016), film dans lequel une mère et sa fille se retrouvent piégées dans leur voiture par un mystérieux monstre. Cinq ans après son précédent film, “The Dark and the Wicked” marque le retour en force de Bryan Bertino, qui choisit cette fois d’ancrer une histoire de possession diabolique dans son Texas natal.
Si vous faites partie de la génération Y (les millenials en anglais) – en gros si vous êtes né, comme nous, entre 1980 et 1995 – vous vous souvenez peut-être de la série originale Fais-moi peur diffusée dès 1993 dans Les Minikeums sur France 3, une série d’anthologie dans laquelle des gamins se racontaient des histoires d’horreur autour d’un feu de camp. Le premier long-métrage de Josh Ruben Scare Me en reprend vaguement l’idée, mais avec des adultes cette fois, et devant un feu de cheminée.
Disponible depuis le 30 octobre en exclusivité chez notre partenaire Shadowz, Depraved (Larry Fessenden, 2019) transpose le mythe de Frankenstein à l’époque contemporaine, sans pour autant en être une énième adaptation ennuyeuse.
Film-concept entre teen movie et horreur-scifi, Starfish (A.T White, 2019) débarque en exclusivité française sur la plateforme Shadowz. Nous avons pu s’y plonger avant tout le monde.
La plateforme de screaming Shadowz dévoile une prise alléchante avec The Head Hunter (Jordan Downey, 2018) inédit en salles en France mais aussi disponible dans les bacs chez ESC Distribution. Que vaut cette curieuse tentative de faire rimer fantasy soignée et micro-budget ?
Disponible sur la plateforme de screaming Shadowz, mais pourtant bien loin de faire peur, The Fall (Tarsem Singh, 2006) porte en lui un film d’aventure foutraque et iconoclaste doublé d’une vive réflexion sur l’intérêt-même de raconter des histoires.
Sorti directement sur Netflix outre-atlantique, la nouvelle production d’horreur indépendante estampillée Blumhouse, Mercy Black (Owen Egerton, 2020) sort chez nous sur Shadowz, la toute nouvelle plateforme de SVOD spécialement dédiée aux cinémas d’horreur et fantastique et dont nous sommes partenaires. A cette occasion, retour sur ce film qui répond parfaitement au cahier des charges habituel des productions Jason Blum.
Le catalogue de la plateforme de screaming Shadowz ne contient, contre toute attente, pas que du cinéma horrifique. Elle permet entre autres de découvrir ou redécouvrir cette merveille de thriller anxiogène, à la lisière du fantastique, qu’est Seconds, plus connue chez nous sous le nom de L’opération diabolique (John Frankenheimer, 1966). Nouveau look pour une nouvelle vie Les premières images déformées de l’impressionnant générique concocté par Saul Bass et les notes lancinantes de la musique […]