Charlotte Viala


A propos de Charlotte Viala

Vraisemblablement fille cachée de la famille Sawyer, son appétence se tourne plutôt vers le slasher, les comédies musicales et les films d’animation que sur les touristes égarés, même si elle réserve une place de choix dans sa collection de masques au visage de John Carpenter. Entre deux romans de Stephen King, elle sort parfois rejoindre la civilisation pour dévorer des films et participer à la vie culturelle Toulousaine. A ses risques et périls… Retrouvez la liste de ses articles sur letterboxd : https://boxd.it/riRbw


Baxter

Notre condition humaine est parfois tellement peu enviable que l’on a tous désiré au moins une fois dans notre vie être dans la peau d’un chien de salon. Jérôme Boivin l’a imaginé pour nous avec « Baxter » (1989), long-métrage raconté entièrement du point de vue d’un Bull Terrier et véritable pépite mésestimée du cinéma de genres français.

Le bull terrier blanc Baxter est allongé devant un mur tout rouge.

[Carnet de Bord] Festival Int. du Film Grolandais 2024 • Jours 4-5

Naturalisée Grolandaise depuis plusieurs années, notre rédactrice Charlotte Viala arpente une nouvelle fois cette année les allées et les salles du FIFIGROT, grande fête annuelle du film Grolandais. L’occasion de nous ramener des tonnes de films qui font pas genre, où le réalisme se mêle au grotesque, où le mauvais goût côtoie la poésie, où ce qui est politique l’est toujours par un pas de côté, coupé-décalé. Focus sur les jours 4 et 5.

Une jeune femme blonde regarde l'objectif tout sourie pendant qu'un ver géant à l'effigie de Freddy Krueger lui dévore les jambes ; photo de tournage du film Freddy 3 les Griffes du cauchemar diffusé au FIFIGROT 2024.

Philippe Noiret dans une vieille et grande cave en ruines dans le film Une si bruyante solitude diffusé au FIFIGROT 2024.

[Carnet de Bord] Festival Int. du Film Grolandais 2024 • Jours 1-3

Naturalisée Grolandaise depuis plusieurs années, notre rédactrice Charlotte Viala arpente une nouvelle fois cette année les allées et les salles du FIFIGROT, grande fête annuelle du film Grolandais. L’occasion de nous ramener des tonnes de films qui font pas genre, où le réalisme se mêle au grotesque, où le mauvais goût côtoie la poésie, où ce qui est politique l’est toujours par un pas de côté, coupé-décalé. Focus sur les trois premiers jours.


[Entretien] Romain de Saint-Blanquat, à pleines dents

Amateurs de contes gothiques, laissez-vous lentement happer par l’atmosphère sombre et vaporeuse de La Morsure (Romain de Saint-Blanquat, 2024), premier long de ce jeune réalisateur qui n’a pas laissé indiffèrent la presse spécialisée du genre. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec lui et de replonger dans les affres de l’adolescence symbolisés par la mélancolique Françoise, jeune pensionnaire d’un lycée catholique qui va connaitre sa première fête en compagnie de sa meilleure amie, Delphine. Les deux jeunes filles ne sortiront évidemment pas indemnes de cette nuit qui laissera des marques dans leur esprit mais aussi dans leur chair.

Une jeune femme observe pensive du sang qui coule de sa main, sous le regard d'un jeune homme qui semble captivé ; en fond, un décor d'église en flamme ; scène issue de La Morsure Romain de Saint-Blanquat.

Un chien et un chat sont assis dans ce qui semble être un tribunal, plongé dans des ténèbres dont on ne perçoit vaguement que le public derrière, constitué de castors ; scène issu du film Hundred of Beavers projeté au Grindhouse Festival 2024.

[Carnet de Bord] Grindhouse Paradise • Jours 3 & 4

Parce que mes explorations dans le paradis du genre ne trouvent pas de repos, me voici prête à découvrir de nouveaux spécimens parfois à fourrure, possiblement purulents, souvent indéterminés venant du froid, du désert, parfois du passé voir même de l’espace. Suite et fin de mon compte rendu du Grindhouse Paradise (Toulouse).