george miller


Plan en plongée issu du film Trois mille ans à t'attendre sur Idris Elba, qui semble être englouti par des flammes ; il est torse nu sur un fond doré.

Trois mille ans à t’attendre

Sept ans après son chef-d’œuvre absolu, Mad Max : Fury Road (2015), George Miller était de retour à Cannes 2022, de nouveau Hors compétition. De quoi susciter une attente démesurée, particulièrement chez nous, bien que ce nouveau projet puisse paraître de loin plus mineur et curieux. C’est mal connaître l’esprit proliférant et l’inaltérable candeur de ce maître conteur qui nous livre là une nouvelle pièce majeure et, sans conteste, le plus beau film du festival, Trois mille ans à t’attendre.


Au coeur du désert, une maison sur la quelle est taggé en rouge la phrase Go home or burn in hell, scène du film Spirits of the Air, Gremlins of the Clouds.

Spirits of the Air, Gremlins of the Clouds

L’éditeur Le Chat qui Fume exhume le premier long-métrage de Alex Proyas, Spirits of the Air, Gremlins of the Clouds, cinéaste greco-australien qui, avec cet essai inaugural, proposait déjà toute la quintessence d’un cinéma à la mise en scène inspirée et incarnée. Un génie flamboyant qui se sera perdu et dévoyé par les affres du temps, de l’appât de l’argent, de coups du destin et surtout… D’un redoutable Hollywood. I believe I can fly La […]


Le Supreme Leader Snooke gît à terre, mort, scène du film Star Wars 8 : Les Derniers Jedi.

[Bilan 2010-2019] Blockbusters : Le Sommeil de la Force 2

Cette décennie qui s’ouvrait sur une révolution – Avatar de James Cameron sortait le 16 décembre 2009 – nous promettait des blockbusters pleins de surprises, d’innovations technologiques, et d’ambition aussi bien narrative que formelle. Au moment de faire le bilan, le constat est pourtant alarmant. L’arrivée des Avengers, les franchises à outrance, l’échec des expérimentations technologiques les plus avant-gardistes, et l’écrasante domination de Disney ont fait bien du mal à la création. Quelques merveilles ont […]


Razorback 1

Carlotta continue de nous offrir des éditions prestigieuses de série B qu’il convient de (re)découvrir. Focus sur celle apportée à l’un des classiques du film de genre australien, Razorback (Russel Mulcahy, 1984), où il est question, entre autres, d’un sanglier géant tueur. Cochon qui s’en dédit Alors que Le Chat qui Fume nous mijote pour les mois à venir plusieurs éditions attendues de titres tous droits venus d’Australie, l’éditeur Carlotta prend les devants en sortant […]