film de noël


Wonka

Après avoir signé deux des meilleurs films familiaux de la décennie passée  – Paddington (2015) et Paddington 2 (2018) – le génial Paul King, cinéaste british bien trop mésestimé, revient aux affaires avec un préquel de Charlie et la Chocolaterie centré sur la jeunesse de Wonka (2023). On vous dit pourquoi vous avez peut être encore fait votre TOP10 trop tôt.

L'entrée de la fabrique à chocolats Wonka, éclairée d'une belle lumière violette, avec une entrée qui éblouit de jaune.

Un Père Noël dans le salon d'une maison vieillotte s'apprête à donner un coup de hache à une victime sur le canapé dans le film Douce nuit, sanglante nuit.

Douce nuit, sanglante nuit 1

Ho ! Ho ! Ho ! Salut les morveuses et les morveux, vous n’avez pas été très gentils cette année, n’est-ce pas ? Alors commencez donc à flipper, car le Père Noël est à vos trousses ! En guise de cadeau, vous aurez droit, au mieux, à un coup de hache ou de cutter. Repentez-vous, tourmenteurs des faibles et pécheurs de la chair, votre heure a sonné car Rimini va lâcher sur vous un gros bonhomme rouge bien différent de celui que vous connaissez dans Douce nuit, sanglante nuit (Charles Sellier Jr, 1984) !


Die Hard : Piège de Cristal

Définir les contours de ce qu’est un film de Noël, c’est prendre le risque de raviver un débat aussi violent que « Pain au chocolat vs. Chocolatine ». Car il n’y a pas que les flocons et les cadeaux qui font d’une œuvre un parfait moment de Noël. Et c’est tout ce que Die Hard : Piège de cristal (John McTiernan, 1988) incarne ; une certaine idée de Noël sur bien des aspects…

En contre-plongée, une vitre brisée ; Bruce Willis se tient dans le trou dans le verre, droit, toisant l'adversaire qui, on le devine, vient de tomber de l'immeuble ; plan issu du film Die Hard : Piège de Cristal.

Arnold Schwarzenegger en costume de super-héros flashy rouge et or prêt à intervenir en tête d'une grande fanfare à ses couleurs, qui l'acclame, dans le film La course aux jouets.

La Course au jouet

La course au jouet (Brian Levant, 1996) ou l’histoire de pères en quête de reconnaissance prêts à employer tous les moyens nécessaires pour mettre la main sur le jouet convoité par leurs fils. Savant mélange de comédie familiale, de satire sociétale et de film d’action, ce cocktail filmique mené par nul autre qu’Arnold Schwarzenegger et produit par Chris Columbus peine parfois un peu à trouver le dosage exact, tant sur le fond que sur la forme. À consommer avec modération – ou pas, ce sont les fêtes après tout !


Le Jour de la Bête

Retournez vos crucifix, sortez les vinyles de Death métal et vos livres de démonologie, Le jour de la bête (Alex de la Iglesia, 1995) va vous faire passer le plus What the fuck de tous les noëls. Comédie horrifique ayant obtenu 6 prix Goya dont celui de meilleur réalisateur en 1995 et le grand prix du jury au Fantastic’Arts, Álex de la Iglesia conserve bel et bien sa place dans le panthéon du cinéma d’horreur espagnol.

Vu du dessus un homme en sang est expulsé d'une fenêtre qui vole en éclats, dans le film Le jour de la bête.