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Un Père Noël dans le salon d'une maison vieillotte s'apprête à donner un coup de hache à une victime sur le canapé dans le film Douce nuit, sanglante nuit.

Douce nuit, sanglante nuit

Ho ! Ho ! Ho ! Salut les morveuses et les morveux, vous n’avez pas été très gentils cette année, n’est-ce pas ? Alors commencez donc à flipper, car le Père Noël est à vos trousses ! En guise de cadeau, vous aurez droit, au mieux, à un coup de hache ou de cutter. Repentez-vous, tourmenteurs des faibles et pécheurs de la chair, votre heure a sonné car Rimini va lâcher sur vous un gros bonhomme rouge bien différent de celui que vous connaissez dans Douce nuit, sanglante nuit (Charles Sellier Jr, 1984) !


Un visage d'homme fantômatique inquiétant, tout pâle et cerné émerge d'une pénombre totale dans le film Cérémonie mortelle.

Cérémonie Mortelle

Si certains slashers du début du genre étaient faits par des artisans sincères, la plupart des rejetons qui suivirent au début des années 1980, furent souvent montés par des producteurs margoulins qui voyait ici l’occasion d’engranger des recettes faciles. Cérémonie Mortelle (Howard Avedis, 1983) appartient à cette catégorie. Réalisé par Howard Avedis (un réalisateur de série B fauché) et produit par sa femme, le long-métrage pâtit d’un manque d’ambition et a tout du projet monté rapidement pour surfer sur la vague de slasher qui envahissait les salles de cinéma.


L’Autoroute de l’Enfer

Relecture moderne et horrifique du mythe d’Orphée et Eurydice, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir L’autoroute de l’Enfer (Ate de Jong, 1991), petite comédie horrifique dont l’aspect surréaliste n’aurait pas dépareillé dans le catalogue Troma.