Timothée Chalamet


Vue de dos, la silhouette de Timothée Chalamet portant une longue cape noire, observe une large explosion dans ce qui semble être un désert ; plan issu du film Dune : deuxième partie.

Dune : deuxième partie

Après le succès modéré du premier opus, l’accueil dithyrambique réservé à Dune : Partie 2 (2024) laisse cette fois peu de place à la nuance. Une grande majorité de la presse comme du public célèbre un spectacle total et porte Denis Villeneuve en nouveau roi du divertissement noble. Mais pour d’autres, ce deuxième volet confirme plutôt les limites entrevues dans le premier film, celles d’un cinéaste incapable d’insuffler la vie à un récit d’une telle envergure.


L'entrée de la fabrique à chocolats Wonka, éclairée d'une belle lumière violette, avec une entrée qui éblouit de jaune.

Wonka

Après avoir signé deux des meilleurs films familiaux de la décennie passée  – Paddington (2015) et Paddington 2 (2018) – le génial Paul King, cinéaste british bien trop mésestimé, revient aux affaires avec un préquel de Charlie et la Chocolaterie centré sur la jeunesse de Wonka (2023). On vous dit pourquoi vous avez peut être encore fait votre TOP10 trop tôt.


Au premier plan Timothée Chalamet la tête baissée, les bras le long du corps ; derrière lui, la plage, et dans le ciel trois vaisseaux spatiaux flottant ; scène du film Dune.

Dune rêve-t-il d’une société écologique ?

Dune de Frank Hebert nourrit depuis plusieurs décennies l’imaginaire artistique d’anticipation. Plusieurs cinéastes, pris d’affection, s’appliquèrent à donner une image aux mystères, aux êtres et aux choses que Dune évoque. Après l’avortement criminel de celui de Jodorowsky en 1977 et la déconfiture de celui de Lynch en 1984, Denis Villeneuve, en 2021, revient réconcilier le littéraire borné, le cinéphile aveugle et l’écolo sensible : l’occasion d’une digression sur le long-métrage et sa portée allégorique.


Six personnes, d'âge mûr, attendent dans une salle d'attente, assis les uns à côté des autres, la mine triste ; à gauche, les comédiens Elisabeth Moss et Clive Owen dans le film The French Dispatch.

The French Dispatch

Le nouvel opus de Wes Anderson était sans aucun doute le film le plus attendu de la compétition cannoise. Avec son impressionnant casting de stars – qui, toutes rassemblées, ont dû être transportées en bus pour rejoindre le tapis rouge – son cinéaste adulé et le mystère qui l’entourait, The French Dispatch avait tout pour être l’événement de cette édition. C’est incontestable, il a pourtant quasiment unanimement déçu. Sans doute parce qu’il se démarque par son aridité et sa radicalité dans la filmographie de son auteur, il faut dire qu’il nous reste de manière persistante en tête. Sans pour autant pleinement nous convaincre.


Robert Pattinson dans Le Roi (critique du film Netflix)

Le Roi 1

Le Roi (David Michôd, 2019) nouveau drame historique Netflix mené par la coqueluche franco-américaine Timothée Chalamet, revient sur l’épisode meurtrier de la bataille d’Azincourt pendant la Guerre de Cent ans. Pacifisme en pleine guerre Disponible sur Netflix depuis début novembre, on revient enfin sur Le Roi, drame historique distribué par Netflix après une première au Festival de Venise et une distribution limitée dans les salles américaines. Réalisé par David Michôd – Australien à qui on […]