post apocalyptique


Fallout • Saison 1

Après le succès de “Last of Us” (2023) chez HBO, les adaptations de jeux vidéo post-apocalyptiques semblent avoir la côte puisque avant “Borderlands” (Eli Roth, 2024), c’est au tour de “Fallout” (2024) d’hériter d’une adaptation sérielle, chez Amazon Prime cette fois-ci. Une adaptation fidèle, mais qui n’évite pas certains malentendus vis-à-vis de son matériau de base.

Plan rapproché-épaule sur le cow-boy squelette La Goule, sur fond de ruines dans le désert, dans la saison 1 de la série Fallout.

Un savant fou portant une masque chirurgical ensanglanté et des lunettes à reflet qui empêchent de voir ses yeux, tend sa main au dessus d'un cobaye sur la table d'opération, indéfinissable, mi-organique mi-machine ; scène du film Mad god.

Mad God

Au cours des trente dernières années, Phil Tippett, le grand créateur d’effets spéciaux – la saga Star Wars, Jurassic Park, Robocop, Starship Troopers… – a travaillé dur sur le projet d’une vie, son long-métrage Mad God, un film d’animation expérimental en stop motion se déroulant dans un “monde fantôme de l’humanité”. L’artiste de génie fut récemment mis à l’honneur dans un documentaire de Gilles Penso et Alexandre Poncet. Ce dernier – que nous avions interviewé – dit du film du maître qu’il est une “expérience très difficile à décrire”. Xavier Colon de la programmation du PIFFF va jusqu’à parler de « SFX porn ». Préparez-vous à entrer dans un univers beau, sale et viscérale, habité par des monstres, des scientifiques fous et des cochons de guerre…


Un jeune homme noir est en train de filmer avec une vieille caméra, tandis qu'un vieil homme derrière lui lui place les mains sur l'appareil ; scène du film Last Words.

Last Words

Fable post-apocalyptique en apparence, Last Words (Jonathan Nossiter, 2020) s’avère être une ode au cinéma profondément touchante face aux derniers jours de l’être humain. La dernière bobine Le tout juste regretté Bertrand Tavernier a proposé avec son Voyage à travers le cinéma français (2016) un hommage aux films et réalisateurs qui l’ont marqué durant sa vie. Jonathan Nossiter offre quant à lui un véritable film hommage au septième art sous couvert d’un monde post-apocalyptique où […]


Spirits of the Air, Gremlins of the Clouds

L’éditeur Le Chat qui Fume exhume le premier long-métrage de Alex Proyas, Spirits of the Air, Gremlins of the Clouds, cinéaste greco-australien qui, avec cet essai inaugural, proposait déjà toute la quintessence d’un cinéma à la mise en scène inspirée et incarnée. Un génie flamboyant qui se sera perdu et dévoyé par les affres du temps, de l’appât de l’argent, de coups du destin et surtout… D’un redoutable Hollywood. I believe I can fly La […]

Au coeur du désert, une maison sur la quelle est taggé en rouge la phrase Go home or burn in hell, scène du film Spirits of the Air, Gremlins of the Clouds.

Theo tient dans ses bras Kee dans une rue en ruines, scène du film Les fils de l'homme.

Les Fils de l’Homme

Après Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban (2004), Alfonso Cuarón récidive avec une nouvelle adaptation littéraire, issue de l’œuvre de P.D. James : Les fils de l’homme. Récit d’anticipation sur fond de monde post-apocalyptique, Les fils de l’homme se questionne sur notre futur tout en ambitionnant de tendre un miroir aux affres de notre monde actuel.