Mutant
Les éditions Rimini nous proposent de (re)découvrir Mutant (John « Bud » Cardos, 1984), un film atypique des années 1980 méconnu du grand public, à travers un sublime coffret qui lui rend justice.
Les éditions Rimini nous proposent de (re)découvrir Mutant (John « Bud » Cardos, 1984), un film atypique des années 1980 méconnu du grand public, à travers un sublime coffret qui lui rend justice.
Film d’horreur oublié des années 1980’s, Rimini Editions nous propose de redécouvrir le film One dark night (Todd McLoughlin,1982 : critique d’une série B macabre marquée par des éclairs de génies.
Relecture Afro-américaine de l’œuvre le magicien d’Oz de L.Franck Baum, les éditions Elephant Films nous propose de redécouvrir The Wiz (Sidney Lumet, 1978) l’une des premières incursions du mythique label Motown dans le domaine du cinéma.
Troisième film de son réalisateur Viljar Bøe, Good Boy, derrière ses atours d’innocente romcom nous offre un thriller psychologique efficace. Une sorte de relecture folle du très fade Cinquante nuances de Grey (Sam Taylor-Johnson, 2015), tout droit venue de Norvège, projetée au PIFFF 2022.
Quasiment inconnu chez nous, les Budaxi, opéra chinois de marionnettes à mains, est une institution en Taïwan dont la famille Huang perpétue la tradition par l’entremise du studio Pili. Avec Demigod : The Legend Begins, premiers films des studios à sortir en France, Chris Huang et Wen-Chang, nous embarquent dans une aventure qui mêle à la fois tradition et modernité.
Troisième film de la réalisatrice Rebecca Mckendry, Glorious avec son concept aussi amusant qu’intriguant, pourrait bien être la surprise de cette édition du PIFFF : critique.
Conte macabre signé par un des maîtres de l’horreur Tom Holland Rimini Editions nous propose de (re)découvrir La peau sur les os (1996) pour la première fois en DVD et en Blu-Ray. Une adaptation fidèle au roman original de Stephen King, mais qui manque de l’ambition artistique de s’en démarquer.
Si certains slashers du début du genre étaient faits par des artisans sincères, la plupart des rejetons qui suivirent au début des années 1980, furent souvent montés par des producteurs margoulins qui voyait ici l’occasion d’engranger des recettes faciles. Cérémonie Mortelle (Howard Avedis, 1983) appartient à cette catégorie. Réalisé par Howard Avedis (un réalisateur de série B fauché) et produit par sa femme, le long-métrage pâtit d’un manque d’ambition et a tout du projet monté rapidement pour surfer sur la vague de slasher qui envahissait les salles de cinéma.
Itération australienne des Chasses du comte Zaroff (Ernest B Schoedsack, 1932) sur fond de dictature Orwellienne, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir Les traqués de l’an 2000 (Brian Trenchard-Smith, 1982), une série B sympathique à défaut d’être originale.
Alors que Docteur Strange in the Multiverse of Madness (Sam Raimi, 2022) – est en salles, on essaye de répondre à des questions que l’on se pose depuis bientôt quinze ans : As-t-on définitivement perdu Sam Raimi ? A-t-il été remplacé par un variant multiversel de lui-même ? En d’autres termes : Faut-il (encore) sauver le Soldat Raimi ?
Relecture moderne et horrifique du mythe d’Orphée et Eurydice, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir L’autoroute de l’Enfer (Ate de Jong, 1991), petite comédie horrifique dont l’aspect surréaliste n’aurait pas dépareillé dans le catalogue Troma.
Film de braquage en huis clos, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir Les pirates du métro (Joseph Sargent,1974), dans une somptueuse édition qui rend justice à cette œuvre tombée dans l’oubli.
Film hybride navigant entre le western et le thriller social, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir Le Salaire du Diable (Jack Arnold, 1957), l’un des films les moins connus de l’immense filmographie de Jack Arnold.