horreur


Presence

Dans « Présence » une famille américaine emménage dans une maison de banlieue où une inquiétante présence l’attend déjà. C’est avec ce pitch resserré et alléchant que Steven Soderbergh signe son retour sur les écrans de cinéma français. Une trame ouvertement horrifique et grand public, mais que le cinéaste américain, connu pour ses audaces formelles, s’est chargé de détourner en plaçant cette fois le spectateur du côté de l’esprit vengeur. Mais dans quel but ?

Une jeune femme, la main contre la vitre, dans une chambre vide, regarde vers l'objectif ; plan issu du film Présence.

Une femme tient devant elle, intriguée, un gros insecte gluant dans le film Ticks.

Ticks

Prêt pour une balade en forêt ? Vous avez pris vos insecticides ? Parce que vous allez en avoir besoin… « Ticks » (Tony Randel, 1993) débarque sur Shadowz pour le plaisir de tous les amateurs de séries B. Mais sous ses airs de film popcorn et ses créatures ragoutantes se cache quelque chose de bien plus angoissant…


Clash

Maladroitement passé sous nos radars lors de sa sortie en vidéo chez nos amis du Chat Qui Fume, il convenait de profiter de notre dossier consacré aux pépites oubliées du cinéma de genres français pour donner enfin toute la considération qu’il mérite à « Clash » (1984) de Raphaël Delpard .

Une femme et sa petite fille sont assise, l'une devant l'autre, contre des tonneaux de fer rouillés ; leurs yeux sont clos et elles ont du sang au coin de la bouche ; scène de Clash.

Dans une pièce plongée dans une lumière rouge, et sur un fond représentant une multitude de visages de mannequins, John Cho enlace sa compagne, la mine soucieuse ; plan du film L'I.A. du mal.

L’I.A du mal

Après « Les Cartes du mal » (Anna Halberg & Spencer Cohen, 2024), les ténèbres continuent de se répandre sur nos écrans avec « L’I.A. du mal » (Chris Weitz, 2024). Aucun rapport entre les deux films sinon le manque d’originalité des distributeurs français en matière de titre, mais la promesse d’un visionnage poilant et décérébré. À moins que Jason Blum, qui produit le bousin, ait décidé de nous faire réfléchir un peu pour une fois…