Until Dawn Mise à jour récente !
Avec Until Dawn (2025) David F. Sandberg s’est posé l’épineuse question : comment adapter des mécaniques de jeux vidéo au cinéma ? La réponse est à la fois plutôt cool et profondément décevante.
Avec Until Dawn (2025) David F. Sandberg s’est posé l’épineuse question : comment adapter des mécaniques de jeux vidéo au cinéma ? La réponse est à la fois plutôt cool et profondément décevante.
Premier film de son réalisateur, Companion (Drew Hancock, 2025) débarque en ce début d’année avec la ferme intention de nous faire (un peu) peur, nous faire (un peu) rire et nous faire (un peu) réfléchir. Un programme chargé donc, et qui s’inscrit dans un mouvement plus large du cinéma d’horreur moderne.
Dans « Présence » une famille américaine emménage dans une maison de banlieue où une inquiétante présence l’attend déjà. C’est avec ce pitch resserré et alléchant que Steven Soderbergh signe son retour sur les écrans de cinéma français. Une trame ouvertement horrifique et grand public, mais que le cinéaste américain, connu pour ses audaces formelles, s’est chargé de détourner en plaçant cette fois le spectateur du côté de l’esprit vengeur. Mais dans quel but ?
Prêt pour une balade en forêt ? Vous avez pris vos insecticides ? Parce que vous allez en avoir besoin… « Ticks » (Tony Randel, 1993) débarque sur Shadowz pour le plaisir de tous les amateurs de séries B. Mais sous ses airs de film popcorn et ses créatures ragoutantes se cache quelque chose de bien plus angoissant…
Maladroitement passé sous nos radars lors de sa sortie en vidéo chez nos amis du Chat Qui Fume, il convenait de profiter de notre dossier consacré aux pépites oubliées du cinéma de genres français pour donner enfin toute la considération qu’il mérite à « Clash » (1984) de Raphaël Delpard .
Après « Les Cartes du mal » (Anna Halberg & Spencer Cohen, 2024), les ténèbres continuent de se répandre sur nos écrans avec « L’I.A. du mal » (Chris Weitz, 2024). Aucun rapport entre les deux films sinon le manque d’originalité des distributeurs français en matière de titre, mais la promesse d’un visionnage poilant et décérébré. À moins que Jason Blum, qui produit le bousin, ait décidé de nous faire réfléchir un peu pour une fois…