Halloween Kills
David Gordon Green revient à la franchise Halloween après un premier essai pas inintéressant, avec un deuxième volet qui revigore la figure de Myers autant qu’il ne l’égratigne.
David Gordon Green revient à la franchise Halloween après un premier essai pas inintéressant, avec un deuxième volet qui revigore la figure de Myers autant qu’il ne l’égratigne.
Projet improbable quand on se souvient de la fin du précédent opus, 3 From Hell, le nouveau film de Rob Zombie, était pourtant très attendu en tant que suite de deux des meilleurs ouvrages de son auteur, La Maison des 1000 morts et The Devil’s Rejects. Improbable, le film l’est bien, mais pas forcément pour le mieux…
Premier long-métrage réalisé par Dave Franco et produit par le studio Black Bear Pictures dont nous vous parlions dans le cadre de notre article consacré à Light of My Life (Casey Affleck, 2020), The Rental (2020) propose de réinvestir le genre quelque peu désœuvré du slasher.
Quand on évoque les films d’horreur de la fin des années 70 au début des années 80, le mot slasher vient très vite à l’esprit. Dans cette avalanche de tueurs patibulaires, de morts sanglantes et d’adolescents courant dans tous les sens, Hell Night, (Tom DeSimone, 1981) se situe pile au milieu de la tempête. Et si ce film tout juste sorti en Blu-Ray chez Rimini était un cas d’école pour évoquer le slasher 80’s ?
Entre Charlie et la chocolaterie (Tim Burton, 2005) et Sweeney Todd : le diabolique barbier de Fleet Street (Tim Burton, 2007), le réalisateur le plus gothique d’Hollywood nous avait offert Les Noces Funèbres (2006), véritable premier long-métrage en stop-motion qu’il signa en tant que réalisateur. Pour cela, il s’entoure de ses plus fidèles collaborateurs et livre une histoire dont il est le seul à posséder le secret, entre cauchemars sanglants et douces rêveries amoureuses. Les Autres […]
Carlotta offre à l’un des films les plus fascinant de John Carpenter, Christine (1983), l’occasion de rejoindre sa collection prestigieuse de coffrets « ultra-collector ». Soit, et de très loin, ce qui se fait de mieux en terme d’édition vidéo aujourd’hui. I’m addicted to you, Don’t you know that you’re toxic ? Au sortir de l’insuccès critique et public de The Thing (1982) – ce qui aujourd’hui apparaît comme une hérésie – difficile pour John Carpenter […]