Calvin Roy


A propos de Calvin Roy

En plus de sa (quasi) obsession pour les sorcières, Calvin s’envoie régulièrement David Lynch & Alejandro Jodorowsky en intraveineuse. Biberonné à Star Gate/Wars, au Cinquième Élément et au cinéma de Spielberg, il a les yeux tournés vers les étoiles. Sa déesse est Roberta Findlay, réalisatrice de films d’exploitation parfois porno, parfois ultra-violents. Irrévérencieux, il prend un malin plaisir à partager son mauvais goût, une tasse de thé entre les mains. Retrouvez la liste de ses articles sur letterboxd : https://boxd.it/rNH2w


Chow Yun-Fat allume son cigare avec un billet d'un dollar dans le Syndicat du crime.

[Entretien] Nathalie Bittinger, dictionnaire des cinémas chinois

De Bruce Lee à l’Opéra de Pékin en passant par 2046 (Wong Kar-wai, 2004), le Dictionnaire des cinémas chinois relève le défi titanesque d’explorer les cinémas chinois, hongkongais et taïwanais. Rigoureux et accessible, l’ouvrage propose aussi bien des biographies que des analyses d’œuvres mais aussi des entrées thématiques ou historiques. L’occasion pour nous de nous entretenir avec Nathalie Bittinger, directrice du dictionnaire, pour examiner les liens entre la Chine et le cinéma de genre(s). Made […]


Une femme vêtue d'une robe jaune aux motifs floraux est allongée dans l'herbe, sa main droite passe sous sa robe, on devine qu'elle est en train de se masturber, scène du film Le jardin des supplices.

Le jardin des supplices

Comme à leur habitude, les archéologues du Chat qui Fume exhument une œuvre étrange et longtemps oubliée. Comédie érotico-horrifique, Le Jardin des Supplices (Christian Gion, 1976) ne déroge pas à la règle, édité pour la première fois en Blu-Ray dans un coffret soigné.


Alice et Joachim sont assis côte à côté sur un banc dans une cité bosniaque, devant un petit parterre de verdure, scène du film Les héros ne meurent jamais pour notre interview d'Aude Léa Rapin.

[Entretien] Aude Léa Rapin, histoire de fantômes

Présenté à la Semaine de la Critique de Cannes en 2019, Les Héros ne meurent jamais (Aude Léa Rapin, 2020) s’est finalement frayé un chemin en salles entre deux confinements. Aude Léa Rapin y raconte l’enquête étonnante d’Alice (Adèle Haenel) sur les traces de la prétendue vie antérieure de son ami Joachim, une enquête qui les mène jusqu’en Bosnie, pays hanté par les fantômes de la guerre. Analyse d’une nouvelle incursion dans le cinéma de genres français avec sa réalisatrice.


Une capsule ressemblant à un vaisseau spatial, ouverte et déserte, flotte dans l'espace, plan en noir et blanc du film Last and first men.

Last and First Men

Après une première présentation à la Berlinale au temps de l’Ancien Monde, Last and First Men l’unique long-métrage du regretté Jóhann Jóhannsson a été projeté à l’Etrange Festival en son hommage. Un manifeste apocalyptique envoûtant et énigmatique, brillamment orchestré par le réalisateur-compositeur ; une œuvre intimiste et monumentale entre documentaire et science-fiction, où passé et futur se confondent. Vertigineux.


Une femme nue, une croix de lave sur le ventre avance dans une espèce de grotte indéfinie, dont les parois reflètent une intense lumière violette, scène du film Blood Machines.

Blood Machines

Contre toute attente, Blood Machines s’est frayé un chemin précisément là où il se doit d’être vu : les salles de cinéma. L’occasion rêvée pour découvrir la vision du duo Seth Ickerman (avec qui nous nous étions entretenus il y’a un an) aux commandes d’un space opera fauché mais audacieux.