Cry Macho
Dans le sillage de son antépénultième film, La Mule (2018) Clint Eastwood revient à lui-même, signant avec Cry Macho (2021) certainement l’un de ses films les plus mineurs et majeurs à la fois, filmant son propre crépuscule.
Dans le sillage de son antépénultième film, La Mule (2018) Clint Eastwood revient à lui-même, signant avec Cry Macho (2021) certainement l’un de ses films les plus mineurs et majeurs à la fois, filmant son propre crépuscule.
Après la très attendue mais finalement décevante Wandavision terminée il y’a quelques semaines, vient de prendre fin la deuxième série Marvel made in Disney+ intitulée Falcon et le Soldat de l’Hiver. Bien que sur le papier, ce thriller d’action à pauvres enjeux n’avait rien de très appétissant, sur la longueur, bien que ronflant, on se laisse séduire par ses thématiques Eastwoodiennes.
Entre 2016 et 2020, les films de genres réalisés durant l’ère Trump révèlent les espoirs et désespoirs du peuple américain, avec son lot de paradoxes et de bizarreries. Un bilan en deux parties.
On pensait le genre quasi-codifié du « film indépendant américain de genre » monopolisé par le studio A24, mais voilà qu’en l’espace d’un mois, un autre studio américain, Black Bear Pictures, vient emboiter le pas de son homologue et lui proposer de faire famille. Après The Rental (Dave Franco, 2020) sorti en début de mois, c’est le drame post-apocalyptique Light of my Life (Casey Affleck, 2020) qui nous intéresse ici. Repentir Si l’état du cinéma indépendant américain […]
Retour en grâce d’un Clint Eastwood vieilli devant et derrière la caméra, La Mule (2019) s’impose d’emblée comme l’une des pièces maîtresse de sa démente carrière. Petit à petit, le temps fait son chef-d’oeuvre En mourant dans un ralenti aussi sublime que tragique à la fin de Gran Torino (2009), Clint Eastwood s’était offert un déchirant adieu au métier de comédien et une conclusion parfaite à une décennie 2000 sans fausses notes. Cet épilogue plein […]
Alors que Le 15h17 pour Paris est toujours à l’affiche et a essuyé une bonne part de critiques très négatives, Clint Eastwood apparaît plus que jamais comme un cinéaste libre. Via sa filmographie toute récente (la « trilogie » American Sniper – Sully – Le 15h17 pour Paris) expliquons par l’analyse pourquoi le vieux continue à nous la mettre profond en se moquant des genres et des attentes. Faut pas croire ce que disent les journaux Il […]