clint eastwood


Anthony Mackie, en costume-cravate près d'un pupitre, tient le bouclier de Captain America dans ses mains et le regarde pensif ; scène de la série Falcon et le soldat de l'hiver.

Falcon et le Soldat de l’Hiver

Après la très attendue mais finalement décevante Wandavision terminée il y’a quelques semaines, vient de prendre fin la deuxième série Marvel made in Disney+ intitulée Falcon et le Soldat de l’Hiver. Bien que sur le papier, ce thriller d’action à pauvres enjeux n’avait rien de très appétissant, sur la longueur, bien que ronflant, on se laisse séduire par ses thématiques Eastwoodiennes.


Le père et Rag marchent sur un sentier dans la forêt, scène du film Light of my life.

Light of my life

On pensait le genre quasi-codifié du « film indépendant américain de genre » monopolisé par le studio A24, mais voilà qu’en l’espace d’un mois, un autre studio américain, Black Bear Pictures, vient emboiter le pas de son homologue et lui proposer de faire famille. Après The Rental (Dave Franco, 2020) sorti en début de mois, c’est le drame post-apocalyptique Light of my Life (Casey Affleck, 2020) qui nous intéresse ici. Repentir Si l’état du cinéma indépendant américain […]


La Mule

Retour en grâce d’un Clint Eastwood vieilli devant et derrière la caméra, La Mule (2019) s’impose d’emblée comme l’une des pièces maîtresse de sa démente carrière. Petit à petit, le temps fait son chef-d’oeuvre En mourant dans un ralenti aussi sublime que tragique à la fin de Gran Torino (2009), Clint Eastwood s’était offert un déchirant adieu au métier de comédien et une conclusion parfaite à une décennie 2000 sans fausses notes. Cet épilogue plein […]


Clint Eastwood n’est pas un héros 1

Alors que Le 15h17 pour Paris est toujours à l’affiche et a essuyé une bonne part de critiques très négatives, Clint Eastwood apparaît plus que jamais comme un cinéaste libre. Via sa filmographie toute récente (la « trilogie » American Sniper – Sully – Le 15h17 pour Paris) expliquons par l’analyse pourquoi le vieux continue à nous la mettre profond en se moquant des genres et des attentes. The world needs Clint Il n’est pas nouveau que […]


Amazing Stories – Intégrale

Série d’anthologie dans tous les sens du terme, Amazing Stories (Histoires Fantastiques dans la langue de Molière) ressort en coffret chez nos amis de Elephant Films toujours vaillants et inspirés pour ressortir des tréfonds du catalogue d’Universal quelques pépites. Retour vers le futur Créée, produite et partiellement réalisée par môssieur Steven Spielberg, Amazing Stories (Histoires Fantastiques) est l’une de ses séries anthologique qu’il convient de déguster par petite dose, piochant ça et là quelques épisodes […]


[Masterclass] Kyle Eastwood, The Honkytonk man

A l’occasion de sa venue pour un concert exceptionnel lors du 20ème Festival du Blues autour du Zinc de Beauvais le mois dernier, Kyle Eastwood a donné une petite masterclass sur la musique de film au multiplexe art et essai le Cinespace de la même ville. Musicien de jazz – bassiste et contrebassiste – Kyle Eastwood est aussi un brillant compositeur de musique originale pour le cinéma, et principalement pour les films de son père, […]


Le Canardeur

Clint Eastwood et Jeff Bridges font la paire dans le premier film de Michael Cimino, un road movie atypique et délicieux. Le désert de la perdition On connaît assez peu Le Canardeur, premier film de Michael Cimino, et c’est un tort. Après avoir réécrit le scénario de Magnum Force (Ted Post, 1973), le second volet des aventures de l’Inspecteur Harry écrit par John Milius, le jeune scénariste Cimino gagne la confiance de Clint Eastwood. On […]


L’Etrange créature du lac Noir 3D 8

Nous ne pouvions pas manquer l’occasion de vous parler de L’Étrange Créature du Lac Noir, qui après une ressortie en salles dans sa version 3D d’origine et dans une copie restaurée d’une grande beauté l’an passé débarque désormais dans un sublime écrin Blu-ray 2D/3D chez Universal. Retour sur ce classique du cinéma d’horreur des années 50, emblème du film de monstres, et chef-d’œuvre parmi d’autres de Jack Arnold. C’est la belle qui a tué la […]


Pour un cinéma des vivants 1

Il y a des cinéphiles académiques qui ne jurent que par Orson Welles et Fellini. D’autres qui, plus grand public mais non dénués de culture, préféreront citer Hitchcock et Kubrick. Il y a des cinéphiles franco-français, nostalgiques du cinéma-suicide de la Nouvelle Vague, et qui ne prêchent que par les doux noms de François Truffaut ou d’Eric Rohmer. D’autres, plus avant-gardistes encore, pour qui Tarkovski est le cinéaste ultime. Certains encore, plus transgressifs, adorateurs invétérés […]