[Carnet de bord] Extrême Cinéma • Jours 3 & 4
On continue de vous narrer nos pérégrinations du côté de l’Extrême Cinéma que nous propose la Cinémathèque de Toulouse avec ce compte rendu des Jours 3 et 4.
On continue de vous narrer nos pérégrinations du côté de l’Extrême Cinéma que nous propose la Cinémathèque de Toulouse avec ce compte rendu des Jours 3 et 4.
Peut-être le plus grand artisan du cinéma bis italien, Sergio Martino a ravi des générations de spectateurs, pas forcément toujours pour les mêmes raisons puisqu’on le retrouve aux commandes de jolies réussites artistiques voire commerciales, comme à celles de délicieux nanars d’exploitation. Le continent des hommes-poissons (1979) peut sans honte être rangé dans la première catégorie.
Comme beaucoup de ses collègues du Nouvel Hollywood, Peter Bogdanovich aura commencé sa carrière chez Roger Corman. Et avec La Cible (1968), celui qui allait réaliser quelques années plus tard La Dernière Séance (1971) réussit à dépasser sa condition d’œuvre mal produite et propose un film certes imparfait, certes schizophrène, mais incroyablement fascinant…
La postérité ne l’aura pas retenu parmi les grandes figures horrifiques du cinéma des années 70/80 telles que Freddy ou Jason, mais il est un tueur qui revient en ce joli mois d’août 2023 : l’homme fondant. Héros tragique et dégoulinant du Monstre qui vient de l’espace (William Sachs, 1977), il bénéficie d’une très belle édition signée Sidonis, qui rappelle à quel point l’épouvante est un genre qui ne s’aborde pas sans quelques notions de mise en scène…
Œuvre méconnue du grand public mais qui témoigne des ambitions futures de son réalisateur, Rimini Editions nous proposent de (re)decouvrir le film Bertha Boxcar, second film du réalisateur Martin Scorsesse en combo DVD/Blu-Ray. La Grande Bertha Si on peut reprocher beaucoup de choses au producteur Roger Corman, force est de constater qu’à la différence de certains producteurs de séries B actuelles (Jason Blum en fait-il partie ? Il y a débat), il a toujours montré […]
Roger Corman, roi incontesté du cinéma d’exploitation américain livrait en 1963 une interprétation haute en couleur du célèbre poème d’Edgar Allan Poe. Le Corbeau est aussi l’occasion de voir s’opposer deux légendes du fantastique et de l’horreur.