[CONCOURS] La Nuit de la Comète 1
A gagner sur Fais pas Genre ! et en partenariat avec Rimini Editions, des combos BluRay/DVD de “La Nuit de la Comète”.
A gagner sur Fais pas Genre ! et en partenariat avec Rimini Editions, des combos BluRay/DVD de “La Nuit de la Comète”.
Transposer à la télévision un classique de la littérature de science fiction est un exercice des plus périlleux. Certains s’y sont cassés les dents (mention spéciale pour la calamiteuse mini-série Dune de John Harrison en 2000 et sa suite non moins calamiteuse) pendant que d’autres s’en sont mieux tirés au prix parfois de nécessaires adaptations (par exemple Silo, Morten Tyldum, 2023 ou encore Le maître du haut château, Frank Spotnitz, 2015-2019). Les chroniques martiennes (Michael Anderson, 1980), qui ressortent en DVD et pour la première fois en Blu-ray chez Rimini, ont quant à elles le séant entre deux planètes.
Au sein d’une filmographie ponctuée par tant de chefs-d’œuvre indémodables, Robert Wise aura disséminé quelques petites pépites moins connues mais tout aussi percutantes. C’est le cas du film qui nous intéresse aujourd’hui, La Ville captive, sorti en 1952, et qui s’inscrit dans un versent résolument réaliste de son œuvre… La sortie d’une belle édition concoctée par Rimini permet de (re)découvrir ce joli film noir.
Dix-neuvième long-métrage de Fritz Lang, mais seulement son deuxième américain, J’ai le droit de Vivre – You Only Live Once en version originale – rassemblait Henry Fonda et Sylvia Sidney en 1937 dans un récit cauchemardesque et tragique. Soit l’impossible réinsertion d’un homme venant de sortir de prison et sa condamnation à vivre dans la fuite et violence dans une société qui le rejette. On retrouve le dégoût de la vindicte populaire et une noirceur accablante chers à l’auteur de M le maudit (1931) dans ce film ressorti en mars chez Studio Canal dans la toujours excellente collection Make My Day dirigée par Jean-Baptiste Thoret.
Son premier long-métrage Jacky Caillou sorti l’an dernier nous avait interpelé et pourtant nous étions passé à côté de son évocation dans nos pages, pour se rattraper, alors que le film est maintenant disponible en vidéo et vod, nous avons proposé à Lucas Delangle un long entretien autour de ce premier essai passionnant.
Pour ses quarante ans, Sweet Sixteen (Jim Sotos, 1983) est édité dans un très beau coffret par Rimini Éditions, comprenant le DVD et le blu-ray du film ainsi qu’un livret d’une vingtaine de pages sur la genèse du film. L’occasion de revenir sur ce slasher méconnus aux accents nanardesques, né dans le sillage des œuvres de Carpenter. Des jeunes en chaleur qui se font corriger à coups de couteau, vous en avez vu mille fois ? Pas bien grave, le film du jour ne prétend faire dans l’originalité…