western


Le visage de Tobey Maguire, songeur, ressort d'une foule de visages en chapeaux, comme s'il était éclairé particulièrement par le soleil ; plan issu du film Chevauchée avec le diable.

Chevauchée avec le diable

Avant Tigre et Dragon (2000), Hulk (2003), Le Secret de Brokeback Mountain (2005) ou L’Odyssée de Pi (2012), Ang Lee proposait Chevauchée avec le Diable (1999), une grande fresque historique retraçant les heures sombres de la guerre de Sécession. Film sabordé par Universal Studios en son temps et qui nous revient aujourd’hui dans une édition concoctée par Elephant films. L’occasion de redécouvrir cette pépite méconnue du cinéaste taïwanais…


Audrey Hepburn les bras croisés, le visage vers le sol, l'air pensif ; derrière elle et ce qui semble être une barrière en bois, son frère, Burt Lancaster, la regarde soucieux ; plan sous un ciel bleu issu du film Le vent de la plaine.

Le vent de la plaine

John Huston, cinéaste protéiforme, n’est pas connu pour ses westerns. Pourtant, sa contribution mérite un coup d’œil que Sidonis Calysta nous permet de jeter en combo Blu-Ray/DVD : critique du troublant Le vent de la plaine (1960) avec Audrey Hepburn et Burt Lancaster.


Karen Steele empêche Randolph Scott de quitter la maison, lui prenant le bras juste devant une porte en bois fermée dans le film Décision à Sundown.

Decision à Sundown

Ré-éditant en version collector une série de films issus de la collaboration mythique entre Randolph Scott et le cinéaste Budd Boetticher, Sidonis Calysta nous permet de plonger en Blu-Ray dans un chapitre particulièrement intéressant de l’histoire du western, et dont Décision à Sundown (1957) n’est pas le rejeton le moins intrigant.


Marlon Brando sur son cheval, présente un esclave noir, une corde autour de la taille, à un potentiel acheteur dans le film Queimada.

Queimada

Dénonçant la cruauté de l’esclavage et de la colonisation sept ans avant la série Racines (Marvin J. Chomsky, 1977), les éditions Rimini nous propose de redécouvrir le très injustement méconnu Queimada de Gilles Pontecorvo pour la première fois en DVD et Blu-ray.


L'actrice Mapi Galan, en Amerindienne, et l'acteur Vassili Karis en cow-boy se cachent derrière une roche montagneuse, sous un soleil lourd dans le film Scalps.

Scalps

En 1987, l’âge d’or du western Spaghetti est déjà passé depuis des années. Sergio Leone a déjà réalisé son ultime film, et même Sergio Corbucci est lui aussi en bout de course. C’est pourtant cette année-là que le duo Bruno Mattei et Claudio Fragasso, vont tenter de ressusciter le genre avec “Bianco Apache” puis “Scalps”. Une résurrection à la Frankenstein tant on en voit les pièces, les cicatrices, les raccords et les coutures, et dont le résultat final, parfois horrifique, parfois impressionnant, parfois pathétique, parfois les trois, vaut nettement le coup d’œil.


Dans une rue bondée de badauds, James Stewart est tenu sous le revolver du marshall tout vêtu de noir dans le film Je suis un aventurier.

Je suis un aventurier

Ressorti chez Sidonis Calysta dans sa collection « Westerns de Légende », Je suis un aventurier (1954), énième fruit de la fructueuse collaboration entre Anthony Mann et James Stewart, illustre ce sentiment alors chevrotant de l’idéologie américaine : celui d’enfin s’installer chez soi, et de prendre en main son destin.


Bone Tomahawk

Trainés sur le bitume s’était forgé chez certains de nos rédacteurs une place de choix parmi leurs Films qui n’ont pas fait genre de 2019. Il était pourtant loin d’être le coup d’essai de son réalisateur Craig S. Zahler. Parce qu’on l’aime bien, et Halloween oblige, on ne résiste pas à l’envie de vous parler de son premier long-métrage : le western épouvantable – dans le meilleur sens du terme – Bone Tomahawk.


Dans une petite église en cours de construction, deux hommes sont assis face à face, au beau milieu de nombreuses planches de bois, scène du film L'étreinte du destin.

L’étreinte du destin

Proposé par Sidonis Calysta dans leur fameuse collection dédiée à ce genre chéri de nos lignes, L’étreinte du destin (George Sherman, 1955) n’est pas un western pur jus. Exit les duels au soleil et les longues chevauchées, et place au cœur d’un homme qui à travers la figure de Dieu, cherche la rédemption à une époque où la civilisation américaine est encore bien fragile.