bill paxton


Un visage d'homme fantômatique inquiétant, tout pâle et cerné émerge d'une pénombre totale dans le film Cérémonie mortelle.

Cérémonie Mortelle

Si certains slashers du début du genre étaient faits par des artisans sincères, la plupart des rejetons qui suivirent au début des années 1980, furent souvent montés par des producteurs margoulins qui voyait ici l’occasion d’engranger des recettes faciles. Cérémonie Mortelle (Howard Avedis, 1983) appartient à cette catégorie. Réalisé par Howard Avedis (un réalisateur de série B fauché) et produit par sa femme, le long-métrage pâtit d’un manque d’ambition et a tout du projet monté rapidement pour surfer sur la vague de slasher qui envahissait les salles de cinéma.


Jake Gyllenhaal face à René Russo avec en fond, une image de Los Angeles la nuit, scène du film Night Call.

Night Call 1

En 2014, Jake Gyllenhaal a vampirisé nos écrans dans Enemy, le dernier film de Denis Villeneuve, dans lequel il livrait l’une de ses meilleures performances. À la fin de cette même année, il revient, toujours aussi déterminé à incarner des personnages tordus, torturés et borderline, dans Night Call, premier long métrage du scénariste Dan Gilroy. Les lumières de la ville Tout le monde aime Jake Gyllenhaal. Et c’est normal, parce qu’il le mérite : bien peu, […]