Archives du mois : août 2024


Épouvante sur New York

Après “Meurtres sous contrôle” (1976), Rimini poursuit sa réédition des films de Larry Cohen avec “Épouvante sur New York” (1982) dans un joli combo DVD/Blu-ray agrémenté d’un livret de 24 pages signé Marc Toullec. Mêlant horreur, fantastique et science-fiction, ce petit bijou est un véritable manuel de la débrouille à destination des réalisateurs désargentés.

Un Quetzalcóatl géant au-dessus des buildings dans le film Épouvante sur New York.

Une silhouette de femme, vue de dos, avance dans le tunnel d'un vaisseau spatial, en contre-jour, vers une lueur qui fait penser à celle du soleil.

Alien : Romulus

C’était l’une des nombreuses inconnues du rachat de la Twentieth Century Fox par l’ogre Disney en 2019, qu’allait bien pouvoir devenir la franchise Alien, laissée pour morte avec “Alien : Covenant” (Ridley Scott, 2017). Avant la série “Alien : Earth” (Noah Hawley, 2025), début de réponse avec “Alien : Romulus” (2024), le nouveau film de Fede Alvarez. Attention spoilers.


House of the Dragon • Saison 2

Alors que la nouvelle plateforme Max rassemblant le catalogue de la Warner et celui de la chaîne HBO vient de poser ses valises en France, arrive avec elle comme produit d’appel, House of the Dragon (Georges R.R Martin et Ryan Condal, 2019- En production) la seconde saison du spin-off de Games of Thrones (David Benioff et D.B Weiss, 2011-2019). Après une première saison bien accueillie dans l’ensemble, on attendait malgré tout de la seconde qu’elle puisse transformer l’essai et marcher dans les pas de son aînée.

Aemond chuchote à l'oreille de Rhaenyra dans la saison 2 de House of the dragon.

Louis Koo en posture de combat, tenant un mixeur dans les doigts ; scène sous le regard d'un groupe d'hommes dans le fond du salon de coiffure, issue de City of Darkness.

City of Darkness

Voilà qu’entre franchises en fin de vie et adaptations pétochardes rugit et bondit le “City of Darkness” de Soi Cheang. À peine échappé des séances de minuit de Cannes, ce petit cyclone hongkongais auto-destructeur tire dans tous les sens, enchaînant coups de génie et ramassages quasi-comiques, et laisse dans son sillage un fabuleux bric-à-brac à ausculter.


Lady in White

Parfois titré Les Fantômes d’Halloween dans nos contrées françaises, Lady In White (Frank LaLoggia, 1988) retrouve toute la poésie de son titre original dans la réédition du Chat qui Fume. Une occasion en or – et en haute définition ! – pour découvrir cette petite pépite de la fin des années 80, sorte de croisement entre Amblin, la Hammer et le cinéma italien… Fantômes en Fête Ce qu’il y a de bien avec toutes ces rééditions […]

Une inquiétante silhouette de femme attend à la fenêtre d'une chambre d'enfant plongée dans la nuit, seulement éclairée par les rayons de la Lune ; plan issu du film Lady in white.

Gros plan sur le visage affamé du zombie d'Antropophagus, bouche en sang, s'apprêtant à dévorer la victime à ses pieds.

Antropophagus

Un homme dévorant ses propres entrailles, ça ne se voit pas tous les jours, et ça, le nouvel éditeur Vidéo Popcorn l’a bien compris puisqu’il édite pour la première fois en blu-ray cet Antropophagus (Joe D’Amato, 1980) dont on ne peut que vous conseiller le visionnage devant une belle assiette de charcuterie…