City of Darkness
Voilà qu’entre franchises en fin de vie et adaptations pétochardes rugit et bondit le “City of Darkness” de Soi Cheang. À peine échappé des séances de minuit de Cannes, ce petit cyclone hongkongais auto-destructeur tire dans tous les sens, enchaînant coups de génie et ramassages quasi-comiques, et laisse dans son sillage un fabuleux bric-à-brac à ausculter.