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Gros plan sur le visage du félin dans Le chat noir du film de Lucio Fulci.

Le Chat Noir

Quand Le Chat qui fume ressort Le Chat noir (Lucio Fulci, 1981), cela donne une très belle édition blu-ray qui permet de faire revivre les élans gores et poétiques du cinéaste italien. Adapté très librement d’une nouvelle d’Edgar Allan Poe, Le Chat noir est moins connu que les plus illustres films de Fulci, mais mérite, un peu, la redécouverte. L’occasion pour nous d’évoquer également Fulci For Fake (Simon Scafidi, 2019), un drôle de faux biopic mais vrai documentaire sur le réalisateur.


Chats rouges dans un Labyrinthe de Verre

Le regretté Umberto Lenzi, nom glorieux du cinéma populaire italien des années 70-80, n’avait pas encore connu d’édition hommage d’un de ses films à la suite de son décès. C’est enfin chose faite, et c’est sans surprise, pour le mieux, le Chat qui fume qui nous gratifie d’une belle édition d’un de ses projets les plus méconnus, giallo étonnant, généreux, et réflexif encore inédit jusqu’ici en France, que l’on peut découvrir dans une copie sublime. […]


Maurizio Merli la mine sombre et triste, dans ce qui semble être une cave, aux murs de briques gris, dans le film La peur règle sur la ville.

La Peur règne sur la ville

Qui se souvient de “La Peur règne sur la ville” (Giuseppe Rosati, 1976), ce vieux néo-polar italien ? Pas grand monde ? Ça tombe bien, Le Chat qui fume va vous rafraichir la mémoire avec cette nouvelle pépite dégotée de l’autre côté des Alpes, tout droit sorti d’une époque où police et justice s’incarnaient en un seul homme : le commissaire Muri !


Plan rapproché-épaule sur un des voyous du film Échec au gang, narguant la police avec une grimace dans la rue.

Échec au Gang

Dans sa démarche de faire connaitre de vieux films du monde entier, Le Chat qui fume édite le film Échec au gang (Umberto Lenzi, 1978), troisième volet des aventures du criminel Poubelle. Un poliziottesco – sous-genre policier venu d’Italie – qui fait la part belle à l’aspect dramatique, et qui, grâce à sa nouvelle restauration, n’a jamais paru aussi étincelant.


Blastfighter Michael Sopkiw

Blastfighter

Prenez un beau gosse au regard ténébreux, affublez-le d’une histoire tragique, collez-lui un passage du côté obscur, un fardeau de culpabilité et des méchants caricaturaux qui ne veulent pas le laisser se repentir en paix. Ajoutez-y une jolie jeune femme, quelques amitiés viriles, un trou perdu, et vous obtenez ainsi le décor idéal d’un film d’action où ça canarde à souhait. Le Chat Qui Fume exhume aujourd’hui cette « pépite » tournée par Bava Jr., témoin d’un certain cinéma d’exploitation italien qui mangeait à tous les râteliers, non sans une certaine efficacité.


Les quatre loubards du film Brigade des Mœurs de Max Pecas, posent sur le motos armés, l'air provocateur, vêtus de leurs blousons noirs.

Brigade des Moeurs

Max Pécas. La simple évocation de ce nom pourrait faire fuir les plus téméraires des amateurs de bis, et fleure bon un cinéma qui ne s’encombrait pas de finesse et de savoir-faire. Avec Brigade des mœurs (1984), il tentait un virage entre deux gauloiseries, remis à l’honneur par une nouvelle édition signée Le Chat qui fume.