toy story


Buzz l’Eclair

Après presque trois ans d’absence en salles – leurs films étant durant cette période relégués à une sortie directement sur la plateforme de Disney – les studios Pixar signent leur retour dans les salles obscures avec Buzz l’éclair (Angus MacLane, 2022), un spin-off plus ou moins connecté à la mythologie Toy Story (1995-2019). Retour sur ce film qui à force de naviguer entre deux eaux, fait plouf.


Small Soldiers

Retour sur une autre histoire de jouet, “Small Soldiers” soit la réponse de Dreamworks et Spielberg au “Toy Story” de Disney/Pixar, le tout vernis par l’irrévérence chère à Joe Dante.


[Bilan 2020] Pixar, lueur(s) dans la nuit

Soumis à de multiples mutations et bouleversements qui lui échappent – restructuration interne suite au départ de son fondateur John Lasseter, nouvelle stratégie de Disney avec le lancement de la plateforme Disney+, crise pandémique inédite – le studio Pixar semble avoir été forcé d’amorcer en 2020, sinon un virage, un tournant de son histoire. En sortant deux longs-métrages passionnants que sont Soul (Pete Docter & Kemp Powers, 2020) et En Avant  (Dan Scanlon, 2020), le studio nous a donné la sensation de faire acte de résistance au cœur de la machine Disney, provoquant deux belles étincelles pour raviver sa flamme et peut-être, qui sait, sauver son âme.


Toy Story 4

Neuf ans déjà après un troisième volet unanimement considéré comme un chef-d’œuvre, le studio Pixar prend un risque majeur en proposant une nouvelle conclusion inattendue à sa trilogie pourtant déjà parfaite, déclinée de son film matriciel. Pourtant, contre toute attente, Toy Story 4 (Josh Cooley, 2019) évite tous les pièges du film de trop pour s’imposer comme la vraie conclusion de cette émouvante histoire de jouets. Vers un nouvel âge d’or Lorsqu’il sortait il y a […]


10 scènes d’horreur dans les films Disney (partie 2) 5

Deuxième partie de notre article collectif tentant de vous prouver que tonton Walt et ses successeurs n’ont pas fait de Disney qu’un havre de paix où l’on chante la paix et la joie de vivre, mais aussi une véritable usine à traumatismes d’enfance. Voici donc cinq autres séquences pour démontrer que Walt Disney fut lui aussi, à sa manière, un Master of Horror. NB : Cliquez sur les miniatures pour avoir accès à une version […]