takashi miike


Audition

Le programme Aux Frontières du Méliès, porté par notre partenaire le cinéma Le Méliès à Montreuil (93) porte particulièrement son appellation en projetant, le samedi 2 novembre à 20h30 pour une séance que nous aurons le plaisir de présenter, le hors-norme Audition (Takashi Miike, 1997) : critique d’un petit chef-d’œuvre de cinéma de genres, toujours aussi remuant près de 25 ans après sa sortie.

Dans une teinte jaune surréelle, une silhouette d'homme en robe de chambre joue du piano ; extrait du film Audition.

Terra Formars

Takashi Miike, le stakhanoviste du cinéma nippon revient avec Terra Formars. Mais que vaut la nouvelle cuvée du grand Miike ? On vous dit tout sur Fais Pas Genre à l’occasion de la présentation du film à L’Etrange Festival. Miike sur Mars On ne présente plus Takashi Miike. Le génial réalisateur de la trilogie Dead or Alive (1999-2001), du superbe Audition (1999) et de tant d’autres films au point qu’il en est presque difficile de suivre […]


13 Assassins 2

Pourtant présenté en compétition à Venise en 2010, « 13 Assassins » n’eût jamais les honneurs d’une exploitation en salles et dût attendre une sortie en direct-to-vidéo pour profiter d’une version française il y’a quelques temps. Alors bien sûr, moi qui ai tant adoré l’autre remake de Takashi Miike d’un classique du film de samouraï, Hara Kiri  dont je vous avais parlé dans un précédent article, c’est avec beaucoup d’enthousiasme que je me suis lancé dans l’aventure avec […]


Hara Kiri: mort d’un Samouraï 1

Avec Hara Kiri, Takashi Miike aborde avec une sobriété et une élégance rare, l’un des genres les plus codifiés du cinéma nippon, le chambara (« film de samouraï »). L’électron libre du cinéma japonais propose plus qu’un simple remake du film de Masaki Kobayashi sorti en 1962, son Hara Kiri à lui est étonnamment plus sobre. Décryptage d’un virage stylistique, ou d’une ruse de caméléon. Caméléon et pantomime Takashi Miike est un cinéaste caméléon. Avec ses lunettes […]


Sukiyaki Western Django 2

S’il y’a bien un cinéaste surproductif au Japon, c’est bien Takashi Miike : le réalisateur tient sa filmographie dans un rythme de production de deux à trois films par an depuis presque vingt ans de carrière. Pour le coup, Miike est vraiment un réalisateur de « films de genres », des genres qu’il a à peu près tous déjà côtoyés : du film de yakuza (Dead or Alive, Gozu) aux films gores et d’horreur (La mort en […]