Les pirates du métro
Film de braquage en huis clos, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir Les pirates du métro (Joseph Sargent,1974), dans une somptueuse édition qui rend justice à cette œuvre tombée dans l’oubli.
Film de braquage en huis clos, les éditions Rimini nous proposent de redécouvrir Les pirates du métro (Joseph Sargent,1974), dans une somptueuse édition qui rend justice à cette œuvre tombée dans l’oubli.
Il paraissait impossible de faire un calendrier de l’avant cinéphile sans LE film de Noël sanglant, fondateur, accessoirement créateur d’un genre chéri de nos lignes, le slasher : critique de Black Christmas (Bob Clark, 1974).
Carlotta Films n’édite pas que des galettes mais aussi des livres, et pas des moindres : avec le passionnant The Big Goodbye, Sam Wasson nous plonge dans les coulisses de fabrication de Chinatown (Roman Polanski, 1974) en délivrant, au passage, une analyse nostalgique des utopies déchues, à Hollywood et ailleurs.
Phénomène de société, film érotique dépassé, évocation bien sentie des affres de l’amour libre, mythe désuet ou au contraire légende méritée ? Emmanuelle (1974) de Just Jaeckin est un peu de tout ça : critique à l’occasion de la sortie d’un director’s cut remasterisé chez Studio Canal. Faites l’Amour pas la paire Même les icônes peuvent se faner vite. Comme l’évoque l’auteure Camille Emmanuelle dans l’entretien proposé en bonus, Emmanuelle (Just Jaeckin, 1974) est peut-être […]