Concours Blu-Ray/DVD – The Innocents
A gagner sur Fais pas Genre ! des combos Blu-Ray/DVD du film “The Innocents” de Eskil Vogt.
A gagner sur Fais pas Genre ! des combos Blu-Ray/DVD du film “The Innocents” de Eskil Vogt.
Surprise de recevoir l’un des deux Prix du jury de ce 29e Festival international du Film fantastique de Gérardmer, Kate Dolan a vécu au bord du lac vosgien la vraie vie de festivalière : arrivée le premier jour, repartie dans son Irlande au lendemain de la clôture, elle a vogué de salles en salles, de films en films, pour étancher sa soif de frissons et d’hémoglobine. Son premier long métrage, You Are Not My Mother (Samhain) mélange les traditions de Samhain, fête païenne qui, plus tard, sera célébrée dans le monde entier sous le nom d’Halloween, à des thématiques contemporaines et personnelles. Samhain, justement, c’est le titre français du film, prévu dans nos salles pour le 10 août prochain. Pour patienter d’ici-là, Kate Dolan nous raconte son travail.
Avec son deuxième film en tant que réalisateur, le cinéaste norvégien Eskil Vogt plonge dans le cercle très fermé de l’enfance pour examiner les possibilités et les limites du mal. Alors que The Innocents était présenté en compétition au 29e Festival international du Film fantastique de Gérardmer – où il a remporté le Prix du Public et le Prix de la Critique – le cinéaste, que l’on connaît aussi pour son travail de co-scénariste avec Joachim Trier, raconte les origines du projet, son expérience de travail avec des enfants et l’envie de plonger dans une psyché bien éloignée de celle des adultes.
Présenté Hors Compétition au Festival du Film Fantastique de Gérardmer, retour sur le vibrant documentaire Inferno Rosso de Manlio Gomarasca et Massimiliano Zanin consacré à une figure du bis italien qu’on admire en ces lieux : Joe D’Amato.
Présenté en Compétition au Festival du Film Fantastique de Gérardmer, on vous parle du « Conjuring Hongrois » selon l’expression consacrée, le très étonnant Post Mortem de Péter Bergendy (2022).
Il existe mille et une raisons qui justifient le sentiment de peur ; cela ne signifie pas forcément que derrière chacune de ses manifestations se trouve une explication… L’adulte a certes tendance à regarder systématiquement les choses sous l’angle de la rationalité. Mais qu’en est-il de l’enfant ? À quel point un être perçu comme l’expression la plus tangible de l’innocence et de la pureté est-il corruptible par les forces du Mal ? Et à quelles fins, si tant est qu’il y en ait ? De telles questions hantent The Innocents, et son mal qui flotte dans l’air.
Retour sur le film d’ouverture de cette 29ème édition du Festival du Film Fantastique de Gérardmer, le décevant retour aux affaires de Sean Ellis – Cashback (2006), The Broken (2008), Metro Manila (2013) – avec une relecture du mythe de la bête du « Djévodon ».
Retour sur “Host”, found-footage en mode confinement soit l’un des films d’horreur les plus côtés de l’année festivalière. Sous côté ou sur-côté ? On vous donne notre avis.
Sorti en novembre dernier en Asie, The Cursed Lesson est le cinquième long-métrage du réalisateur Juhn Jai-hong mais seulement le premier de son Kim Ji-han. Hé oui, deux réalisateurs pour un film tout en bipolarité. Les premières critiques affluent rapidement sur les réseaux sociaux dès l’ouverture du festival. Moqué, mal noté, incompris, considéré intriguant mais néanmoins sans queue ni tête, The Cursed Lesson en a sévèrement pris pour son grade tout en attirant tout de même son lot de curieux. Comme nous, par exemple. On a suivi le mouvement, on lui a donné sa chance, et comme beaucoup d’autres, nous sommes restés relativement perplexes tout en se demandant si le film méritait vraiment un tel déchainement.
Prix du jury au dernier Festival de Gérardmer, Inunaki : Howling Village (Takashi Shimizu, 2020) opère un retour à une J-Horror certes traditionnelle mais efficace.
Après Aniara (Pella Kagerman & Hugo Lilja, 2019), il est grand temps de s’attaquer au deuxième film co-détenteur du prix du jury du Festival International du Film Fantastique de Gerardmer 2019, The Unthinkable du collectif suédois Crazy Pictures. Impensable, mais vrai Après plusieurs films de la compétition officielle du Festival de Gerardmer cuvée 2019 scénaristiquement et conceptuellement pauvres – si l’on excepte The Dark (Justin P. Lange, 2018), qui est mon Grand Prix personnel – […]