rock hudson


Au milieu de stèles de couleur sable, Rock Hudson serre la main d'un extraterrestre, humanoïde au visage comme de la cire, et portant une toge blanche ; plan issu des Chroniques martiennes.

Les Chroniques Martiennes

Transposer à la télévision un classique de la littérature de science fiction est un exercice des plus périlleux. Certains s’y sont cassés les dents (mention spéciale pour la calamiteuse mini-série Dune de John Harrison en 2000 et sa suite non moins calamiteuse) pendant que d’autres s’en sont mieux tirés au prix parfois de nécessaires adaptations (par exemple Silo, Morten Tyldum, 2023 ou encore Le maître du haut château, Frank Spotnitz, 2015-2019). Les chroniques martiennes (Michael Anderson, 1980), qui ressortent en DVD et pour la première fois en Blu-ray chez Rimini, ont quant à elles le séant entre deux planètes.


Dans la plaine, Rock Hudson et Kirk Douglas tous les deux sur leur cheval, moites de sueur, le visage marqué par le soleil, scène du film El Perdido.

El Perdido

Western de Robert Aldrich tourné en 1961 avec deux immenses stars (Kirk Douglas et Rock Hudson), El Perdido est proposé en édition spéciale limitée combo DVD/Blu-Ray par Sidonis Calysta. Critique d’un long-métrage inégal mais aux potentialités certaines, un des exemples de ces promesses artistiques qui ne se tiennent qu’en boitant. Les doux salopards Lorsqu’il évoque El Perdido dans l’entretien présenté en bonus de cette édition combo DVD/Blu-Ray Sidonis Calysta, le cinéaste Bertrand Tavernier parle de […]


James Stewart, belle gueule fragile 1

Fais Pas Genre chante les louanges de James Stewart en précurseur selon nous de l’art dramatique moderne à Hollywood, à l’occasion de la sortie en combo DVD/Blu-Ray chez Rimini Editions du western Les Affameurs tourné par Anthony Mann en 1952. L’Ange impur La catégorie « beaux-gosses-mais-qui-en-plus-jouent-bien » est bien fournie de nos jours. On peut dire sans trop de mauvaise foi que des gars comme Christian Bale, Matthew McConaughey, Ryan Gosling ne sont pas trop manchots de […]


Taza, fils de Cochise

L’unique western de Douglas Sirk, estampillé pro-indien, est réédité par Sidonis Calysta en combo DVD/Blu-Ray. Que vaut donc ce Taza, fils de Cochise (1954) ? L’amitié entre les peuples On fait tout pour ne pas être sectaire à la rédaction, on flaire même la moindre opportunité de vous parler du moindre cinéaste reculé de nos sphères genresques – a priori – qui pourrait avoir une quelconque accointance ponctuelle avec le cinéma qu’on défend. Mais force […]