francois truffaut


Plan d'ensemble en noir et blanc sur une cellule de prison en bois ; un garde surveille en lisant à côté assis ; dans la cellule dont les barreaux tracent leurs ombres sur le sol, un homme attend les bras le long du corps ; issu du film J'ai le droit de vivre.

J’ai le droit de vivre

Dix-neuvième long-métrage de Fritz Lang, mais seulement son deuxième américain, J’ai le droit de Vivre – You Only Live Once en version originale – rassemblait Henry Fonda et Sylvia Sidney en 1937 dans un récit cauchemardesque et tragique. Soit l’impossible réinsertion d’un homme venant de sortir de prison et sa condamnation à vivre dans la fuite et violence dans une société qui le rejette. On retrouve le dégoût de la vindicte populaire et une noirceur accablante chers à l’auteur de M le maudit (1931) dans ce film ressorti en mars chez Studio Canal dans la toujours excellente collection Make My Day dirigée par Jean-Baptiste Thoret.


Fahrenheit 451 (2018)

52 ans après sa première adaptation cinématographique signée môsieur François Truffaut, voilà qu’est apparue l’an dernier – préalablement sur nos petits écrans –une remise au goût du jour du très célèbre roman dystopique de Ray Bradbury, Fahrenheit 451. Sorti en DVD en Novembre dernier par la Warner, on vous raconte si la flamme a pris… ou pas. Livres brulées… au vent On le sait tous, l’œuvre originelle écrite par Ray Bradbury, roman culte de la […]


Le lion est mort ce soir

Alors qu’on pouvait s’attendre à un joli petit film dans lequel le trop rare Jean-Pierre Léaud tient la vedette, Le Lion est mort ce soir nous permet de le retrouver, avec plaisir, dans une oeuvre étonnamment estampillée Fais pas genre !  La faute aux fantômes des films passés probablement. Le Roi Léaud Truffaut a dit un jour que Jean-Pierre Léaud était un acteur anti-documentaire, en ce sens que dès qu’il entre dans une pièce, tout prend soudainement des airs […]


Le masque arraché

Rimini Editions ressort dans une copie idéale un film noir méconnu mais idolâtré par un certain François Truffaut : Le Masque Arraché, de David Miller (1952). L’argent de la vieille Dans la masse de films noirs qui a constitué ce qu’on nomme, assez difficilement d’ailleurs, la période classique du genre (grosso modo du Faucon Maltais de John Huston en 1941 à La soif du mal d’Orson Welles en 1958) certains tirent leur épingle du jeu. Ils […]