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Anthonhy Steffen dégaine dans le film Viva Django ! (critique)

Viva Django !

Ré-édité par Artus Films, Viva Django ! (Edoardo Mulargia, 1972) s’offre une seconde vie dans un Blu-Ray comprenant une version restaurée, ainsi qu’une présentation vidéo et écrite par Curd Ridel. Sorti en 1972, le long-métrage est important par son contexte de production dans une industrie en pleine essor, et par la présence de la superstar Anthony Steffen, surnommé « le Clint Eastwood italien ». L’occasion de replonger le temps d’une critique dans cette époque glorieuse du […]


La Mafia fait la loi

Nouvel opus de la collection Make my day ! de Jean-Baptiste Thoret, réalisée en collaboration avec Studio Canal, La mafia fait la loi (Damiano Damiani, 1968) ressort dans une superbe copie restaurée. Franco Nero et Claudia Cardinale partage l’affiche de ce polar aux allures de western, dans une Sicile repliée sur elle-même. La loi du silence Adapté du roman Le jour de la chouette, de Leonardo Sciascia, La mafia fait la loi (Damiano Damiani, 1968) prend […]


Corbucci, en long et en large 3

A l’occasion de la grande rétrospective qui lui est consacrée à la Cinémathèque Française du 9 au 29 Juillet, retour sur la carrière de l’un des grands maîtres – souvent injustement inconsidéré – du cinéma de genre Italien : Sergio Corbucci. En long et en large Cinéma de la plage, Cannes, 10 mai 2018. Un début de festival qui a déjà, dans l’exaltante obscurité de ses salles, craché des tubes des Rolling Stones, des Ronettes, de […]


Django Unchained 11

Après avoir revisité à sa sauce maison divers genres parmi lesquels le film de gangsters, le film de kung-fu, la série B horrifique ou encore le film de guerre, Quentin Tarantino devait très naturellement en venir au western, genre qui débordait déjà dans bon nombre de ses précédents films. C’est donc chose faite avec ce Django Unchained, hommage appuyé au western spaghetti qu’il aime tant, et principalement au Django (1966) de Sergio Corbucci. Parler du […]


Sukiyaki Western Django 2

S’il y’a bien un cinéaste surproductif au Japon, c’est bien Takashi Miike : le réalisateur tient sa filmographie dans un rythme de production de deux à trois films par an depuis presque vingt ans de carrière. Pour le coup, Miike est vraiment un réalisateur de “films de genres”, des genres qu’il a à peu près tous déjà côtoyés : du film de yakuza (Dead or Alive, Gozu) aux films gores et d’horreur (La mort en […]