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James Cameron, La Science des Rêves

L’exposition L’art de James Cameron visible à la Cinémathèque Française jusqu’en janvier 2025, est l’occasion de découvrir le roi du divertissement en dessinateur instinctif capable de figurer ses visions les plus personnelles. Dès la vidéo d’introduction le réalisateur confie même prêter une grande importance aux rêves, parfois à l’origine de ses idées visuelles les plus célèbres. Allons encore plus loin et avançons que la dimension onirique du cinéma de Cameron est peut-être ce qui fait sa véritable singularité et l’une des clés de son succès.

James Cameron dans ce qui semble être un tunnel, scène de tournage avec une comédienne allongée devant lui, un néon passant près de son visage.

Un homme en costume-cravate est en train de foudre sous l'effet d'in liquide bleu et vert, dégoulinant dans le film Street Trash de Jim Muro, diffusé au festival Extrême cinéma.

[Carnet de bord] Extrême Cinéma • Clôture

Une journée retranscrite en deux fois. Il fallait bien ça quand ladite journée s’étale de 15h à 7h du matin. Me voilà achevant la première partie, l’esprit encore embrumé de la semaine, me demandant comment je pourrai tenir une nuit entière. Mais est-ce l’énergie du désespoir ou le désir ne pas voir le festival se finir, me voilà à 22h avec mon ticket, scellant mon enfermement jusqu’au petit matin avec les quelques fous qui restent. La reprise des nuits complètes qui s’était achevé depuis le COVID voit revenir son lot d’habitués carburant à la bière et aux chips. La salle pleine est plus que motivée à tenir jusqu’au bout de la nuit.


Château de Rêve

Dans la foulée de l’exposition/rétrospective à la Cinémathèque Française, Lobster Films édite des raretés de la carrière de Henri-Georges Clouzot dans une petite collection qui lui est toute dédiée. Même si Château de rêve est une comédie, on fait une entorse à la ligne éditoriale pour vous parler du DVD et surtout de son bonus, le curieux et genresque court-métrage La terreur des Batignolles. Suicide de boulevard J’ai déjà poussé mon coup de gueule, alors […]