contre culture


Un groupe d'hommes et de femmes vus de dos contemple une haute statue de bois prendre feu sous un ciel de crépuscule, scène du film The Wicker Man.

The Wicker Man

Nous, adeptes de chocs psychédéliques, mordus de l’horreur alternative et d’hystérie complotiste abreuvée aux ambiances païennes, nous ne pouvons qu’apprécier la re-sortie récente par Lost Films du final cut du culte The Wicker Man (Robin Hardy, 1973). Esthétiquement minimaliste dans sa facture et porté par la contre-culture seventies, cet objet nous éclaire toujours aujourd’hui de sa lueur puissante.


Un guitariste punk en concert face à une foule immense, en fond, des arbres frêles, plan en noir et blanc du film White Riot.

White Riot

Lorsque le très xénophobe National Front britannique prend une ampleur inquiétante dans le pays à la fin des années 70, un groupe militant décide de canaliser leur amour des genres musicaux alors fleurissants punk, ska et reggae, dans un mouvement antiraciste, Rock Against Racism, culminant lors d’un gigantesque concert réunissant les plus éminents groupes de l’époque. C’est ce que raconte White Riot (Rubika Shah,2020), documentaire musical actuellement en salles.