tueur


Heart Eyes

Comédie romantique et slasher à la fois, « Heart Eyes » (Josh Ruben, 2025) avançait avec de solides arguments pour titiller nos fibres sensibles et nos plus bas instincts de spectateurs ! Des couples, un maniaque lâché dans les rues un soir de Saint-Valentin… Restait à savoir si nous n’allions finir écœurés par tant de bécots sur fond de tripailles…

Plan rapproché-épaule sur le tueur au masque avec des coeurs dans les yeux du film Heart Eyes.

Le tueur du film In a Violent Nature, vu de dos, déambulant dans la forêt.

In a Violent Nature

Si le slasher semble avoir livré tous ses ressorts et possibilités depuis cinquante ans, de « Halloween » (John Carpenter, 1978) à « Thanksgiving » (Eli Roth, 2023) en passant par « Scream » (Wes Craven, 1996), des réalisateurs tentent parfois de faire un petit pas de côté pour analyser le genre. C’est le cas de « In a Violent Nature » (Chris Nash, 2025), tout juste auréolé du Grand Prix à Gérardmer, qui débarque enfin en France via la plateforme Insomnia.


The Killer

Dire que chaque film de David Fincher fait évènement, c’est comme dire que les chatons sont mignons : l’évidence même. En neuf ans et depuis qu’il a signé un accord d’exclusivité chez Netflix, le monsieur n’aura sorti que deux films de son cerveau retors : « Mank » (2020) et « The Killer » (2023), qui nous intéresse aujourd’hui. Un film aussi logique que déroutant dans la filmographie de son auteur…

Michael Fassbender en position du lotus, vu de profil, sur un tapis de yoga, dans un appartement désaffecté ; plan issu du film The Killer.