raspoutine


Une main de mort-vivant s’extirpe d'une tombe fumante, dans un des films de la Hammer.

Hammer, L’âge D’or • 1966-1969

Des coffrets consacrés à la Hammer, il y en a eu à foison ces dernières années : The Hammer Collection en vingt films chez nos amis Anglais en 2015, 13 Cauchemars de la Hammer chez Elephant Films en 2017, Collection Hammer 9 Films, chez ESC en 2022, sans oublier Sex and Blood chez Tamasa en 2020. Ce dernier constituait le tome 2 consacré à la maison de production britannique. Voici aujourd’hui – allez comprendre – le tome 1, couvrant la seconde moitié des années soixante et présentant sept réalisations plus ou moins représentatives de l’horreur gothique, à l’image restaurée (dépoussiérage et nouvel étalonnage des couleurs) et en version originale sous-titrée. On y trouve entre autres du Terence Fisher, du Christopher Lee, un peu de Peter Cushing, un soupçon d’érotisme, quelques litres de sang et pléthore de créatures diaboliques de toutes sortes. L’occasion pour nous de revenir sur les premières années de ce studio mythique.


Faut-il réhabiliter Don Bluth ?

Voici dont un anniversaire qui est passé complètement aux travers des radars de l’info : un homme du nom de Don Bluth a soufflé le mois dernier ses 85 bougies. L’occasion chez Fais Pas Genre ! de revenir sur cette figure mésestimée de l’animation, bien que ses films aient rencontré un franc succès. Et surtout, en profiter pour saluer le travail de Rimini Éditions, grâce à qui nous pouvons (re)découvrir quelques unes des pépites de sa filmographie grâce à des ressorties Blu-Ray de qualité dont la dernière en date n’est autre que Charlie, mon héros (1989). Tentative de réhabilitation d’un véritable génie de l’animation.