lutins


Gros plan sur le visage d'un monstre aux dents pointues et à la peau grise, portant un bonnet de Père Noël avec en fond un sapin de Noël ; issu du film Elves.

Elves

Noël est la seule période de l’année durant laquelle le spectateur lambda peut accepter sans sourciller des histoires d’amour naïves entre une business woman et son ancien petit ami resté au village. Le spectateur fan d’épouvante va plutôt en profiter pour regarder le mythe du père Noël être soumis à tout un tas d’horreurs. Mais le genre n’est pas si prolifique que ça et après quelques années à regarder Black Christmas (Bob Clark, 1974) ou Krampus (Michael Doughery, 2015) que reste-t-il à se mettre sous la dent ? Notre lectorat risque de penser qu’il a trop forcé sur le lait de poule s’il s’aventure à regarder Elves (Jeffrey Mandel, 1989), film inclassable venu des tréfonds des ténèbres de la hotte du père Noël.


Hobgoblins, les lutins diaboliques 1

En 1984, sort le premier opus des Gremlins : le succès en salle incroyable de ce film pas tellement familial en soi, va donner lieu à une saga culte mais aussi à une tonne de dérivés. Parmi ceux-ci, Hobgoblins, qui tente de réutiliser tous les éléments clés de Gremlins, à savoir l’horreur mêlée à l’humour, mais voilà, Rick Sloane n’est pas Joe Dante. Manuel pour l’art martial ancestral du combat de râteau L’histoire se passe dans […]