sean connery


Gros plan sur le visage de Sean Connery dans le désert, le visage entouré d'un turban blanc dans le film Le lion et le vent.

Le lion et le vent

Pointons nos mirettes vers un scénariste majeur, John Milius, cinéaste et scénariste ayant apporté insolence et audace au cinéma américain des années 70. Rimini Editions nous propose de revoir Le Lion et le Vent (1975), son spectaculaire film d’aventure, dans la lignée de Lawrence d’Arabie (David Lean, 1962), dont l’histoire tourne autour de l’enlèvement d’une résidente américaine par un seigneur du Rif. Entre La Rose et la Flèche (Richard Lester, 1976) et l’adaptation de Rudyard Kipling, L’Homme qui voulut être roi (John Huston, 1975) – dont on vous parlait hier – le mythique Sean Connery est Raisuli, chef berbère défiant à distance Théodore Roosevelt, figure essentielle de l’œuvre de Milius.


Sean Connery assis sur son trône, avec roi, sceptre, et air sérieux dans le film L'homme qui voulut être roi.

L’homme qui voulut être roi

Wild Side offre une nouvelle vie au chef-d’œuvre de John Huston : L’homme qui voulait être roi. Encore une fois, une édition totale comprenant un Blu-Ray, un DVD, un livre et de nombreux bonus : le tout dans un emballage de luxe. Vous l’aurez compris, il temps pour vous de repartir en voyage avec Sean Connery et Michael Caine.


Le cast du Nom de la Rose (critique de la série Netflix)

Le Nom de La Rose – Saison 1 1

Je pourrais commencer cet article par un petit bloc de latin pour vous mettre dans l’ambiance. Adversus periculum naturalis ratio permittit se defendere, par exemple, et ne rien traduire par fidélité au best-seller de Umberto Eco, Le Nom de la Rose. Vous avez de la chance, nous sommes ici pour parler de la récente série, sortie en cette année 2019 sur OCS notamment, réalisée par Giacomo Battiato et fraîchement éditée en vidéo par Wild Side. […]


Q présente son projet devant un écran avec de nombreuses lignes de codes et informations, sous le regard de James Bond, scène du film Skyfall.

Quand le gadget devient gadget… 3

Alors qu’une vingt-troisième aventure de James Bond cartonne actuellement en salles, le cinéma d’action n’en finit pas de muter, remplaçant les déjà vieux gadgets de jadis en paires de biceps et armes haut de gamme. Analyse sur la mutation en profondeur d’un des genres majeurs du cinéma, le film d’espionnage et d’action, en se basant sur la disparition d’une de ses figures emblématiques: le gadget. Le protocole fantôme S’il y a bien une figure emblématique […]