claude francois


Elvis Preseyl en tenue rose est sur scène, d'une main il porte le micro à pied à sa bouche, de l'autre il tend son bras vers un public de femmes qui ont les bras tendus vers lui.

De Cloclo à Elvis, biopics d’un autre genre

La vision endiablée d’Elvis par Baz Lhurmann se place d’ores et déjà comme l’une des grosses productions les plus marquantes de l’année 2022, tout comme un de ses plus grands succès au box office. Coïncidence, il y a dix ans tout juste un autre biopic dévoilait l’existence d’une icône à la trajectoire sensiblement proche de celle du King, quoique bien plus franco-française, Claude François (Cloclo de Florent Emilio-Siri, 2012). On s’empare de cette résonance en décryptant la manière dont ces cinéastes, sur une histoire pourtant similaire, jouent la carte des cinémas de genre(s) pour livrer deux expériences filmiques tout à fait différentes.


Si Perrault m’était conté

Vous avez toujours rêvé de voir Claude François acteur ? L’ORTF l’a fait en 1966 avec une mini-série d’anthologie Si Perrault m’était conté. Les fidèles à leur réputation Elephant Films sont allés nous dénicher une autre rareté de la télévision française d’antan et en a fait un coffret DVD. Les contes ne sont plus ce qu’ils étaient Je n’ai aucun scrupule à révéler que j’admire Cloclo. Bon à part ses attitudes on ne peut plus […]