film sur la maladie


The Dark and the Wicked

Bryan Bertino a débarqué tout feu tout flamme en 2008 avec « The Strangers », un film d’abord boudé à sa sortie, qui avait, le temps aidant, réussit à devenir un « incontournable ». Entre temps, le cinéaste s’était attelé à la réalisation moyennement convaincante de « The Monster » (2016), film dans lequel une mère et sa fille se retrouvent piégées dans leur voiture par un mystérieux monstre. Cinq ans après son précédent film, « The Dark and the Wicked » marque le retour en force de Bryan Bertino, qui choisit cette fois d’ancrer une histoire de possession diabolique dans son Texas natal.

Sous un angoissant ciel rouge, se dessine un arbre et une petite maison plongée dans l'obscurité ; plan issu du film The Dark and the Wicked.

Un jeune homme et une jeune femme en tenue d'écoliers japonais sont dos à dos sous des cerisiers en fleurs ; plan onirique du film Je veux manger ton pancréas.

Je veux manger ton pancréas

Ne vous faites pas avoir, il n’y a absolument rien de cannibale dans Je Veux Manger ton Pancréas. À mille lieux de tout ce que le titre aurait pu laisser imaginer, l’animé dispo sur Netflix depuis quelques semaines est en réalité un énième de ces films d’animation nippon plein de bons sentiments.