carey mulligan


Une femme blonde est assise dans un club vide, au milieu de larges fauteuils rouges, devant un miroir ; plan issu du film Promising Young Woman.

Promising Young Woman

Cela fait maintenant déjà quelques années que nous sommes coutumiers d’un élan de féminisme qui atteint toutes les sphères de la société et notamment celle du cinéma. Chose plutôt logique sachant que cet élan a commencé avec l’affaire Weinstein. Après les divers mouvements #metoo et #balancetonporc l’industrie du cinéma semblait commencer sa mue, pour le meilleur mais aussi pour le pire, beaucoup en profitant en effet pour se glisser dans la brèche de façon plus ou moins opportuniste, abreuvant le septième art de tout un tas de films qui n’ont de “féministes” que leur posture. Il faut réussir à trouver au milieu de cette avalanche de sorties ce qui peut apporter une plus-value non seulement au cinéma de manière générale mais aussi à la cause féministe. C’est dans ce contexte-là que sort Promising Young Woman (Emerald Fennell, 2020).


Drive 6

Le plus grand des cinéastes danois revient en force avec une nouvelle perle sanglante, belle, aboutie. Il ne s’agit donc pas de Lars Von Trier, mais bien de Nicolas Winding Refn et son magnifique Drive (prix de la mise en scène à Cannes) qui nous narre l’aventure noire et violente d’un mécanicien/cascadeur/chauffeur pour la mafia. I’m in love with my car Opinion personnelle: Nicolas Winding Refn est le cinéaste le plus génial au monde après […]