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Gros plan sur le visage d'un monstre aux dents pointues et à la peau grise, portant un bonnet de Père Noël avec en fond un sapin de Noël ; issu du film Elves.

Elves

Noël est la seule période de l’année durant laquelle le spectateur lambda peut accepter sans sourciller des histoires d’amour naïves entre une business woman et son ancien petit ami resté au village. Le spectateur fan d’épouvante va plutôt en profiter pour regarder le mythe du père Noël être soumis à tout un tas d’horreurs. Mais le genre n’est pas si prolifique que ça et après quelques années à regarder Black Christmas (Bob Clark, 1974) ou Krampus (Michael Doughery, 2015) que reste-t-il à se mettre sous la dent ? Notre lectorat risque de penser qu’il a trop forcé sur le lait de poule s’il s’aventure à regarder Elves (Jeffrey Mandel, 1989), film inclassable venu des tréfonds des ténèbres de la hotte du père Noël.


American Samouraï

Spécialiste des nanars d’arts martiaux comme Le Ninja Blanc ou American Warrior, le réalisateur Sam Firstenberg offre un florilège de combats grotesques dans ce American Samouraï (sorti en 1992 et aussi connu sous le nom de La Loi du Samouraï) dans lequel les coups de katana s’enchaînent aussi vite que les faux raccords et les raccourcis scénaristiques. Ou comment à côté, le Fight Club ressemble à un tournoi de badminton. Il n’y a pas vraiment […]