christopher walken


Christopher Walken observe New-York de nuit, de son bureau, derrière une vitre sur laquelle se reflète la ville ; plan issu du film The King of New-York.

The King of New York

Depuis plusieurs années, alors qu’il continue une œuvre de plus en plus expérimentale, solitaire et passionnante, Abel Ferrara connaît une nouvelle mise en lumière de ses œuvres du passé, dans des ressorties en salles ou en blu-ray de ses plus grands classiques. Après L’Ange de la vengeance (1981), New York, 2h du matin (1984) chez Esc, c’est Carlotta qui nous gratifie d’une remarquable édition blu-ray collector de son film le plus célèbre, avec Bad Lieutenant (1992), The King of New York (1990). L’occasion de revenir sur ce classique qui n’a rien perdu de sa noirceur et de sa puissance formelle.


Plan rapproché-épaule sur le Christopher Walken, un peu hagard, du sang coule de sa bouche dans le film The Addiction.

The Addiction

Dès ses débuts avec The Driller Killer (1979), cet indépendant d’Abel Ferrara a régulièrement côtoyé le genre du fantastique et un an après la sortie de son Body Snatchers, L’invasion continue (1994), le cinéaste new-yorkais voit les choses en noir et blanc : Carlotta Films nous propose de redécouvrir The Addiction, ou sa relecture urbaine du mythe du vampire.


L'acteur Christopher Walken dans une case vietnamienne, revolver sur la tempe, en pleine crise de nerfs, scène de la roulette russe dans Voyage au bout de l'enfer.

Voyage au bout de l’enfer

Deuxième long-métrage de Michael Cimino, Voyage au bout de l’enfer reste, avec La porte du paradis (1980), l’un de ses travaux les plus emblématiques et intemporels. Alors qu’il arrive dans les salles obscures quelques mois seulement avant Apocalypse Now (Francis Ford Coppola, 1979), les deux productions partagent une thématique commune, la guerre du Viêt-Nam, tout en s’y attaquant de manière diamétralement opposée. Ici, il ne sera pas question de ceux qui partent, mais de ceux […]


Johnny Depp dans le film Sleepy Hollow (critique)

Sleepy Hollow

Alors que son projet Superman Lives reste sur les rotules, Paramount propose à Tim Burton de réaliser Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête (1999), d’après un scénario de Kevin Yagher, connu pour ses maquillages et effets spéciaux, et Andrew Kevin Walker, auteur de Se7en (David Fincher, 1995). Après la déception d’un projet avorté, le réalisateur californien semble trouver l’histoire idéale pour relancer sa fibre artistique. Encore faut-il savoir garder la tête sur les […]